VIDÉOS
Films o Midsummer night's dream (1968) : Inédit en France. Fidèle de notre site, vous le savez : Diana Rigg a toujours eu une passion pour le théatre et avait négocié avec les producteurs de la série pour continuer en plus du tournage son travail sur les planches avec la Royal Shakespeare's Company. Cette adaptation cinématographique de la pièce Songe d'une nuit d'été est directement issue de celle de la troupe (mêmes acteurs, choix de mise en scène...). Le film propose une affiche de rêve avec, autour de Diana Rigg, deux actrices qui sont devenues aujourd'hui la crème du cinéma anglais : Helen Mirren et Judi Dench. Réalisée par Peter Hall, alors directeur de la compagnie, cette adaptation fidèle à la virgule près a plutôt mal vieilli et fait trop 60's, dans le mauvais sens du terme. L'action prend en effet place dans les années 60 et les mini-jupes sont de rigueur. La réalisation aux accents psychédéliques paraît aussi d'un autre âge et frise l'amateurisme. On ne s'étonnera pas donc que ce film, malgré son affiche en or, soit tombé dans l'oubli le plus total. Les américains ne s'en sont d'ailleurs par embarassés puisque le film y a été directement diffusé à la télévision. Ce film n'est jamais arrivé dans nos contrées ! Ne boudons pas notre plaisir pour autant : c'est la seule fois où Diana Rigg a donné la réplique à Helen Mirren au cinéma, quel bonheur donc de voir ces deux géantes réunies ! o Au Service secret de sa majesté (1969) : Le rôle majeur de Diana Rigg au cinéma, qui fait suite à Honor Blackman en Bond girl dans un des films les plus dépréciés (ou adulés, c'est selon) de la série. Les traits de son personnage, Tracy, sont extrêmement proches de ceux de Mrs Peel et cela se ressent au niveau de l'inteprétation, une composition au final bien peu surprenante. Néanmoins, cela reste un vrai plaisir de la découvrir dans des décors de rêves et dans des scènes d'action impressionnantes ! D'autant que le destin inattendu de son personnage marquera à jamais la saga. Quelques anecdotes sur le film (issues du livre Diana Rigg the biography de Kathleen Tracy) : - c'est au départ Catherine Deneuve qui devait interpréter le rôle de Tracy. - Lazenby avait affirmé à la presse que juste avant de tourner des scènes de baiser, Diana Rigg mangeait énormément d'ail pour avoir l'haleine la plus désagréable possible, ce qui serait complètement faux selon le réalisateur. - selon le réalisateur encore, Diana Rigg et Georges Lazenby se seraient en fait parfaitement entendus sur le plateau, même si l'ego démesuré de l'acteur agaçait parfois sa partenaire.
o Assassinats en tous genres (1969) : Diana Rigg partage l'affiche avec Telly Savalas (Kojak) et Oliver Reed (Gladiator). Elle y incarne une journaliste qui enquête sur une étrange organisation de tueurs à gages. Ce film est l'adaptation d'un roman inachevé de Jack London. Diana Rigg y croise un célèbre acteur français : le regretté Philippe Noiret ! o Théâtre de Sang (1973) : Un film d'horreur aux accents comiques très réussi sur un acteur shakespearien qui assassine ses propres critiques. C'est Vincent Price qui incarne l'acteur et Diana Rigg sa fille qui participe elle aussi aux meurtres ! Un rôle qui surprendra plus d'un fan de la série et dans lequel Diana Rigg se montre brillante. À noter, le double intérêt que représente le film pour les fans de la série, puisque Ian Hendry (le Dr Keel de la première saison) participe lui aussi au film (et sera même finalement le seul critique à survivre au carnage !). C'est un plaisir immense de voir ensemble à l'écran ces deux grandes figures des Avengers, qui ne s'étaient jamais croisées dans la série. Vous pouvez les retrouver dans cet extrait.
o Petite Musique de Nuit (1977) : Dans cette adaptation d'une comédie musicale de Broadway, Diana Rigg partage l'affiche avec nulle autre qu'Elizabeth Taylor. Cette adaptation a connu un succès plutot limité mais permet à Diana Rigg de nous épater une fois encore avec ses qualités vocales. o La Grande Aventure des Muppets (1981) : Deuxième long-métrage issu de la série américaine Les Muppets, Les Muppets à Londres offre un rôle où la puissance comique de Diana Rigg prend toute son ampleur. Elle y interprète une star de la haute couture anglaise à qui l'on va voler un diamant à la valeur inestimable. Une excellente comédie familiale, où l'on retrouve John Cleese, qui a lui aussi participé aux Avengers, et Peter Ustinov, avec qui Diana Rigg tournera une année plus tard Meurtre au soleil. À noter que Diana Rigg a été ravie de participer à un film des Muppets : "Ce qui a été si fantastique en faisant ce film c'est que je n'avais jamais connu une expérience similaire. Il me semble que je passe ma carrière à faire des choses que je n'avais jamais faites avant. Et j'adore complètement Les Muppets. J'ai regardé tous les épisodes à la télévision et je les enregistre pour Rachael (sa fille). Nous avons une demi-heure chaque soir avant qu'elle n'aille se coucher complètement consacrée aux Muppets. Nous aimons toutes les deux chacun de ces petits personnages magiques. C'est superbe d'avoir quelque chose comme ça à partager avec Rachael." (source : Diana Rigg, the biography ).
o Meurtre au soleil (1982) : Dans ce film, adapté d'Hercule Poirot d'Agatha Christie, Diana Rigg joue aux côtés d'une distribution impressionnante : Peter Ustinov, Jane Birkin, Maggie Smith... Elle interprète une actrice manipulatrice et arrogante détestée par tous, Arlena Marshall. Elle va (malheureusement pour nous !) vite se faire assassiner. Avec ce personnage de garce, Diana Rigg est loin de Mrs Peel mais se révèle une fois de plus étonamment crédible et tient la dragée haute au reste de la distribution. Le film en lui-même est aussi très bon, avec un Peter Ustinov en grande forme dans le rôle d'Hercule Poirot, et des paysages magnifiques. À noter que lors d'un passage, on peut entendre Diana Rigg chanter. Et, comme toujours, elle y excelle!
Interview de Diana Rigg durant le tournage o Un Anglais sous les Tropiques (1994) : Une comédie éminemment divertissante dans laquelle Mrs Peel partage l'affiche avec ... Sean Connery ! Diana Rigg assure toujours autant dans la comédie.
o Heidi (2005) : Dans ce qui constitue sûrement la meilleure adaptation du roman, Diana Rigg est une nouvelle fois impériale dans un rôle malheureusement trop court. o Le voile des illusions (2006) : Diana Rigg tient un second rôle consequent pour ce film adapté du roman La Passe Dangereuse tourné en Chine dans des décors naturels éblouissants. Dans le rôle d’une mère supérieure, Diana Rigg compose une belle performance dans ce mélodrame historique porté avec conviction par Naomi Watts et Edward Norton. Même si sa trame est parfois conventionnelle, si vous êtes amateur du genre, ce film est à découvrir.
Séries et téléfilms o Ce sentimental M. Varela : A very desirable plot (1963) : Saison 1/épisode 9. Eh oui, Diana Rigg était déjà apparue à la télévision avant Chapeau Melon. Elle apparaît dans cette série, diffusée sur ITV future chaîne des Avengers, qui s'arrêtera au bout de 13 épisodes. Ce sentimental M. Varela n'a été visible qu'en 1969 en France sur l' ORTF. Cette série policière narre les enquêtes d'un agent d'import/export qui, lors de son temps libre, poursuit les criminels, entouré de sa secrétaire et de son valet/chauffeur chinois. Diana Rigg fait une apparition éclair dans la série. Aussi présent dans la distribution, la future star Donald Sutherland que Diana Rigg retrouvera 4 ans plus tard dans Le dernier des sept. o Diana (1973) : Inédit en France. Toujours très populaire aux États-Unis grâce à son rôle d'Emma Peel, Diana Rigg s'est vue offrir sa propre sitcom tout simplement intitulée Diana ! Elle y joue le rôle de Diana Smythe, une anglaise qui emménage à New York. Diffusée sur la NBC, la série, descendue par les critiques, s'arrêtera au bout de 13 épisodes faute d'audience suffisante. Néanmoins, Patrick Macnee aura eu le temps de faire un "coucou !" amical à sa partenaire lors d'un épisode ultra référentiel aux Avengers ! Seule et unique fois où les deux acteurs se retrouvent à l'écran hors Avengers. Un instant culte à ne pas manquer. o The Morecambe & Wise show (1975) - Christmas Special : Inédit en France. Le duo comique Morecame & Wise a régné durant des décennies à la télévision anglaise. Leur émission est aujourd’hui devenue une institution au même titre que Chapeau Melon. Elle accueillait de nombreuses guest stars de prestige dont les Beatles, Laurence Olivier, Alec Guinness et … Diana Rigg ! Cette dernière a participé à la section la plus prestigieuse du show : le Christmas Special (l’épisode spécial de Noël) qui attirait jusqu’à 28 millions de spectateurs soit tout simplement la moitié de la population britannique de l’époque ! Énergique et pétillante, Diana Rigg ne démérite pas face au duo légendaire. o King Lear (1983) : Une adaptation télévisée de la pièce de William Shakespeare, inutile de vous préciser que Diana Rigg maîtrise parfaitement ce registre. Aux côtés d'un Laurence Olivier grandiose, elle a tourné ici l'adaptation de référence du Roi Lear. La réalisation est néanmoins un peu vieillotte. o Apprenties Sorcières (1986) : Dans cette école des sorciers dont beaucoup d’éléments rappellent Harry Potter, Diana Rigg interprète l’intraitable Professeure de potions Mademoiselle Constance Hardbroom. Apprenties Sorcières est un téléfilm à destination des enfants, qui accuse ses années aujourd’hui, notamment les effets spéciaux. Une curiosité dans la carrière de l’actrice. Le téléfilm n’ayant jamais eu une sortie DVD en France, cet extrait vous est proposé à partir d’une VHS.
o Blanche Neige (1987) : Distribué directement en vidéo, ce film est une adaptation musicale du célèbre conte des frères Grimm. C'est la firme Cannon qui est à l'origine de cette adaptation. Cannon n'est pas un studio inconnu pour les amateurs de nanar puisqu'il est à l'origine de films les plus risibles de l'histoire du cinéma : American Ninja, Le Ninja Blanc ou Le Justicier de New York entre autres perles. Chuck Norris, Charles Bronson ou Jean-Claude Van Damme doivent à cette firme une bonne partie de leur carrière. Pourtant ce film, qui s'inscrit dans une série d'adaptations des contes les plus célèbres Cannon Movie Tales, est loin de la catstrophe annoncée sur le papier. Diana Rigg est étonnante dans le rôle de la reine mère. Un rôle aussi exubérant qu'extravagant dans lequel l'actrice shakespearienne s'amuse comme jamais ! Les chansons tiennent remarquablement la route et n'ont rien à envier à celles de Disney. Enfin, malgré un budget réduit, le film est visuellement plutôt réussi. Ce film est de fait majoritairement destiné aux enfants, mais les admirateurs de l'actrice devraient eux aussi y trouver leur compte. Il n'a été disponible qu'en 2007 en France à l'occasion de sa sortie en DVD chez MGM.
o Les Hasards de l’amour (1987) : Diffusé tardivement en France en 1996, ce téléfilm britannique réunit une large partie de l’ancienne équipe des Avengers : John Hough (metteur en scène de Brouillard et Un chat parmi les pigeons entre autres) réalise un scénario, basé sur un roman de Barbara Cartland, écrit par Terence Feely (auteur des Anges de la mort, Pour attraper un rat et deux épisodes de la saison 1) et interprété par Gareth Hunt et, donc, Diana Rigg. Bref, un très joli ensemble complété à la distribution par la jeune et encore inconnue Helena Bonham Carter. Au final, du pur divertissement joyeusement emmené par Diana Rigg, exquise dans un rôle de méchante très méchante ! o Un amour qui tue (1989) : Mini série en 4x55'. Aux côtés d'une autre ancienne star de série culte, David Mc Callum (Des Agents Très Spéciaux), Diana Rigg interprète une belle-mère dans un thriller psychologique fascinant. Ceux qui ont eu la chance d'avoir vu cette fiction la considèrent comme un des meilleurs rôles TV de l'actrice. o Samson and Delilah (1996) : Mini série en 2x90'. Cette coproduction européenne, avec la participation de France 2, est une libre adaptation de la célèbre histoire biblique de Samson et Dalila. Cette mini série fait partie d'une collection d'adaptations bibliques qui incluaient Abraham (1994), Moïse (1995) et Jeremiah (1998). Aux côtés de Diana Rigg, incarnant la mère de Samson, Mara, on retrouve une jolie brochette d'acteurs : Dennis Hooper, Michael Gambon et Elisabeth Hurley dans le rôle-titre. 1ère partie - La naissance de Samson 2ème partie - Le départ de Samson o Rebecca (1997) : Mini série en 2x90'. Nouvelle adaptation du roman de Daphné du Maurier, celle-ci a l'avantage de s'étirer sur 180 minutes, et donc de retranscrire parfaitement l'ambiance si oppressante du roman. Diana Rigg reprend le rôle de Mrs Danvers, immortalisé sur grand écran par Judith Anderson dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock. Au petit jeu des comparaisons, si Emilia Fox et Charles Dance ne parviennent pas à faire oublier Joan Fontaine et Laurence Olivier, Diana Rigg tient elle la dragée haute dans une composition remarquable, faisant apparaître, au delà de la simple méchante, toute la dimension tragique du personnage. Une performance si remarquable que l'actrice remporta l'Emmy Award du second rôle féminin dans une mini série, trente ans pile après l'avoir perdu face à Barbara Bain pour un 1er rôle féminin ! Cette adaptation fut diffusée sur deux soirées consécutives en prime time par France 2.
1ère partie - Rencontre avec Mrs Danvers 2ème partie - Révélations sur Rebecca o Mrs Bradley Mysteries (1998-1999) : Inédit en France. Diana Rigg est la vedette dans cette série policière de 5 épisodes seulement. Elle incarne une sorte de Miss Marple décalée et branchée et insuffle tout son humour à cette fiction dans la lignée des séries de détectives britanniques. Les admirateurs de l'actrice devraient se régaler. Voir un extrait de Laurels are Poison Voir un extrait de Death at the Opera Bande-annonce : Death at the opera Bande-annonce : Rising of the moon Bande-annonce : Laurels are poison Bande-annonce : The worsted viper o Au commencement (2000) : Nouveau petit rôle dans une adaptation biblique pour la télévision pour Diana Rigg après Samson & Dalida. Entourée d’un casting quatre étoiles (Martin Landau, Jacqueline Bisset ou Christopher Lee entre autres), Diana Rigg y incarne Rébecca, la femme d’Isaac et mère de Jacob. A noter que c’est sa propre fille Rachael Stirling qui incarne la jeune Rébecca.
o Charles II : The Power and The Passion (2003) : Mini série de 4x60'. Inédit en France. Cette saga historique produite par la BBC narre les années de royauté, les dix années d'exil puis le retour triomphant de Charles II au 17ème siècle. Diana Rigg y interprète Henriette de France, la mère française donc (cocorico !) du monarque, fille d'Henri IV. On lui a reproché le caractère féroce et amer de son approche du personnage, éloigné de la réalité historique. À noter aussi l'absence d'accent français. Sa prestation lui a tout de même valu une nouvelle nomination aux Emmy Awards. Les férus d'histoire salueront une nouvelle fois le savoir-faire de la BBC en la matière, les autres apprécieront un spectacle instructif, même si parfois un peu longuet. o Extras (2006) : Saison 2/épisode 5. Cette série britannique, diffusée sur la BBC, nous raconte les mésaventures d'un acteur qui peine à percer (Ricky Gervais, l'hilarant patron de The Office) et qui se retrouve toujours relégué à être figurant (soit extra dans la langue de Shakespeare). Cela lui permet de rencontrer de nombreuses stars (Ben Stiller, Kate Winslet, Samuel L. Jackson, Patrick Stewart...) qui viennent joyeusement se parodier. Dans cet épisode, c'est le très médiatique Daniel Radcliffe, Harry Potter au cinéma, qui vient se moquer de lui-même. Mais, on guettera surtout les quelques apparitions de Diana Rigg, elle aussi dans son propre rôle. L'actrice n'a rien perdu de sa superbe et de son humour. Elle réussit en quelques bouts de scènes à voler la vedette à un Daniel Radcliffe qui se révèle pourtant nettement moins agaçant qu'au cinéma. La série n'ayant pas été doublée, cet extrait vous est proposé en VOST
Voir le clin d'œil à Chapeau Melon o Doctor Who (2013): Le cauchemar écarlate. Première diffusion en France le 29 juin 2013. Après tant d’autres figures de Chapeau Melon (dont Honor Blackman), Diana Rigg participe à son tour à la série monument de la BBC qu’est Doctor Who, lancée en 1963. Le showrunner Stephen Moffat confie l’écriture de l’épisode à Mark Gatiss, l’un des auteurs les plus populaires de la série et son complice pour Sherlock. Or ce dernier, également comédien, a déjà joué sur scène avec Diana Rigg (lors de la pièce All About My Mother, en 2007) et avec sa fille Rachael Stirling, dont il est un ami proche. Il décide dès lors de permettre à la mère et à la fille de jouer ensemble, pour la toute première fois, en écrivant expressément le scénario pour elles. Située à l’époque victorienne, l’histoire voit le Docteur (Matt Smith) et sas amis lutter contre un complot mené par Mme Gillyflower visant à répandre dans l’atmosphère un poison mortel, afin de régner sur le monde avec ses fidèles (c’est assez proche du projet d’Hugo Drax dans Moonraker). Egalement amateur de séries anciennes, Gatiss a indiqué avoir inséré plusieurs références à Chapeau Melon dans on intrigue très astucieuse, avec un rôle archétypal de Diabolical Mastermind confié à Diana Rigg (avec Maître Plan, savoureuses confrontations verbales de rigueur avec le héros et spectaculaire affrontement final de rigueur), un chapeau melon d’époque coiffant le Docteur ou Jenny, l’une des alliées du Docteur, arborant une version victorienne d’une des tenues en cuir d’Emma Peel, lors d’une scène de combat évoquant celle-ci. Toujours habitée par la même présence et la même énergie, Diana Rigg interprète avec une jouissance communicative l’Esprit diabolique et s’entend à merveille avec Matt Smith. Rachael Stirling délivre une bouleversante prestation en fille martyre de Mme Gillyflower finissant par s’allier avec le Docteur. Une grande représentation des deux actrices, pour ce qui demeure l’un des épisodes les plus marquants et captivants de sa saison.
o Game of Thrones (2013-...) : Diana Rigg participe à l'incontournable série du moment Game of Thrones. Depuis la 3ème saison, elle y incarne la puissante et redoutable Olenna Tyrell. Nous vous proposons un extrait de l'épisode Le Cadeau (Saison 5, Épisode 7).
Publicités et autres o Album : Diana Rigg sings! (1972) : Deux chansons sans aucun rapport avec la série mais qui restent très sympathiques. Encore un domaine où Diana Rigg excelle... o Tony Awards (1994) : En 1994, Diana Rigg reçoit l’équivalent du Molière aux États- Unis : le Tony Award, en tant que Meilleure actrice principale pour son rôle de Médée dans la pièce éponyme d'Euripide. Elle venait de jouer cette pièce pendant trois mois à New York après l’avoir débutée à Londres deux ans plus tôt. Lors de son discours de remerciement, Diana Rigg remercie toute son équipe mais aussi le public américain et Broadway dont elle gardera d’excellents souvenirs. o Publicité radio pour Neutrogena (2000) : Et oui, Diana Rigg, aussi grande actrice shakespearienne soit-elle, s'est commise dans des publicités au cours de sa carrière, comme celle-ci pour un produit de beauté. o Empire's children (2007) : Ce documentaire, diffusé sur Channel 4, donnait la parole à des célébrités anglaises dont les vies ont été directement affectées par la chute de l'empire britannique. Pour l'occasion, Diana Rigg est retournée en Inde sur les lieux de son enfance. |