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Les Aigles4-14-02 saison 11

VOYAGE SANS RETOUR
(THE TOWN OF NO RETURN )

Steed finds a town of ghosts – Emma gets into harness

Tournage :29 octobre au 13 novembre 1964 et retournage : 21 au 30 juillet 1965

Diffusion : ITV, 2 octobre 1965 – 2e chaîne ORTF, 2 mai 1967

Scénario : Brian Clemens

Réalisation : Roy Baker

Alan MacNaughtan (Brandon), Patrick Newell (Smallwood), Terence Alexander ('Piggy" Warren), Jeremy Burnham (Le Vicaire), Robert Brown (Saul), Juliet Harmer (Jill Manson), Walter Horsbrugh (L'inspecteur).

Résumé

Quatre agents ont disparu, les uns après les autres, dans le village de Little Bazeley et les Avengers prennent la direction du Norfolk par le train. Ils font la connaissance de Smallwood pendant le voyage. Tous les trois se rendent au pub du village où ils sont fraîchement accueillis. Le lendemain, Steed et Emma trouvent le corps de Smallwood sur la plage et ils découvrent rapidement que tous les habitants du village sont des imposteurs. Les archives de la paroisse ont été détruites et l'école est mystérieusement déserte en plein milieu du trimestre. Les dernières paroles du véritable maître d'école ("Below", en bas) mettent les Avengers sur la piste. Le souterrain sous l'ancien terrain d'aviation fourmille d'armes et de soldats prêts à envahir l'Angleterre. Steed et Mrs Peel condamnent la seule sortie possible et enferment les envahisseurs.

Épilogue

Les Avengers rentrent à Londres en scooter ; Mrs Peel conduit et Steed est assis sur le porte-bagage.


CRITIQUES

4-14-01

 


Denis Chauvet 3 décembre 2003

Le sujet de l'épisode peut paraître assez simpliste, remplacer les habitants de village en village pour prendre possession d'un pays, mais il ne faut pas oublier que la guerre froide battait son plein au milieu des années 60. L'intrigue sera même reprise lors de la saison couleur avec The Living Dead. The Town of No Return est le premier épisode de la saison 4 en ordre de diffusion mais on remarque déjà une osmose entre Mrs Peel et John Steed. Cet épisode a en effet été re-filmé en milieu de saison et peut être considéré comme un très bon épisode, malgré quelques "restes" visibles du tournage original avec Elisabeth Shepherd.

Le teaser plante le décor de la série : un pêcheur observe, impassible, un homme sortir de l'eau dans un grand sac à fermeture éclair ! La meilleure scène de l'épisode est, néanmoins, le duel à l'escrime du début : des dialogues intéressants, de l'humour et une certaine familiarité (tape sur le postérieur) entre les Avengers. Steed : "More flexibility in the wrist", Emma : "The cream is in the kitchen", "That was very very dirty". Le voyage en train et l'explication de Mrs Peel au tableau noir avec Steed en élève, assis au pupitre, sont deux autres scènes intéressantes entre les Avengers. On découvre aussi l'esprit bon enfant de Steed qui ne peut pas résister à faire un tour de manège !

On remarque beaucoup de scènes extérieures dans cet épisode tourné en juillet et également des séquences de nuit réussies lorsque Smallwood se rend à l'église en traversant un cimetière. La présence d'acteurs indissociables de la série, comme Patrick Newell et Jeremy Burnham, est un plus indiscutable. J'apprécie aussi beaucoup la musique lorsque Steed et Emma progressent dans le souterrain à la fin de l'épisode (à réécouter dans Castle De'ath).

Trois questions peuvent servir à discussions : comment Steed se débarrasse-t-il d'autant d'adversaires avec son melon spécial ? Pourquoi Emma fait-elle confiance au vicaire alors que tous les habitants sont des imposteurs ? La moustache de Warren s'embrase-t-elle en accord avec le scénario ?

À noter pour finir que la version Canal+ DVD kiosque ne permet pas d'avoir le générique et les sous-titres anglais, c'est regrettable !

EN BREF : Un excellent départ !


Steed3003
31 août 2004

Tout d'abord, que ceux qui ne connaissaient qu'Emma Peel en couleur et redoutaient un peu le noir et blanc se rassurent : Chapeau Melon en noir et blanc est un régal. Le cachet noir et blanc donne une élégance folle et un charme inouï à nos deux agents. Il est drôle de constater que, si en couleur la série faisait souvent kitsch, en noir et blanc, elle apparaît luxueuse.

Après une séquence d'ouverture étrange rappelant une des scènes du film si controversé, le scénario de Brian Clemens instaure vite un climat de paranoïa et de mystère. Voyage sans retour, comme L'heure perdue dans la même saison, est avant tout un épisode d'ambiance. Le scénario sait nous réserver de nombreux rebondissements jusqu'à la fin, même si on pourrait lui reprocher un certain classicisme (point de clowneries meurtrières, ni de vengeur volant) et une trop grande ambition : on nous promet beaucoup, on ne voit finalement que très peu.

Amateurs d'humour, régalez-vous : on ne compte plus les bonnes répliques, soutenues par un tandem Macnee-Rigg toujours aussi bien rôdé. Rappelons que c'était leur 14e épisode en ordre de production. On retiendra surtout l'inégalable scène du thé dans le train tellement... avengeresque et la réplique culte, John Steed disant l'air catastrophé : "It will have to be milk" (en VF : "Du lait, j'en ai bien peur !") et la mimique de Mrs Peel. So british !

La réalisation est inégale. On oubliera quelques scènes de plage maladroitement tournées en studio, pour retenir un superbe plan de Patrick Newell poursuivi par les chiens. Les scènes d'action sont réussies, notamment celle du tisonnier. L'interprétation est malheureusement caricaturale, à la notable exception de Patrick Newell : il nous montre l'étendue de son talent en jouant un personnage à l'opposé de Mère-Grand. On ne prête guère attention à la musique, c'est qu'elle doit bien accompagner l'épisode ! Les costumes sont particulièrement seyants (ah, le béret de Mrs Peel...). Les décors nous surprennent par leurs nombreux détails (le pub, les chambres, l'école) mais nous déçoivent parfois par leur rusticité (le bunker).

EN BREF : Un bon épisode mais on est encore loin de l'âge d'or !


Estuaire44
27 avril 2013

Bien que tourné assez tardivement, The Town Of No Return fut le premier épisode Emma Peel présenté au public. Dès lors, il doit être jugé  à l’aune du véritable semi pilote qu’il constitue, ouvrant une nouvelle ère pour la série. Et le succès apparaît clairement au rendez-vous.

L’introduction de la nouvelle de Steed s’effectue avec habileté. Les quelques minutes d’introduction permettent de ménager un suspense rehaussé par la présence du fameux oei ; veillant sur le sanctuaire de la Déesse. Clemens a la finesse de ne pas représenter une première rencontre factuelle, un procédé assez lourd. Bien au contraire, tout se passe comme si Steed et Mrs Peel étaient proches de longue date, sans explication superfétatoire.  La transition de Mrs Gale à Mrs Peel s’effectue donc avec fluidité, mais le jeu de Diana Rigg indique que le duo va s’établir sur un tout autre mode, bien plus complice et fusionnel. Le petit coup d’épée bien placé de Steed au cours de la parfaite scène du duel  divertit, mais surtout ne laisse planer aucune ambigüité sur le sujet. La riposte de Cathy aurait tété autrement cinglante ! Tout au long du récit, il s’avérera passionnant de découvrir comment des scènes, encore en grande partie écrites pour cette-dernière se verront atténuées, sinon transformées, par la personnalité de la nouvelle compagne d’aventures de Steed. Sans rien céder en indépendance, Mrs Peel se montre plus avenante et davantage dans l’air du temps des 60’s, plus sexuée également (on note déjà une scène de liens très cuir). La relation avec Steed s’établit d’entrée comme plaisamment ambigue. Le panorama nouveau mis en place par Clemens s’intéresse d’ailleurs également à notre héros. Au terme d’une évolution certes déjà débutée en saison 3, Steed apparaît définitivement comme le parfait gentleman, suave et spirituel (mais aussi si florentin et impitoyable) que nos connaissons.

L’univers de la série franchit un nouveau palier, là aussi après une mise en place progressive au cours de la période précédent. La scène initiale (à juste titre reprise dans le film de 1998) frappe d’entrée par le ton aux lisières du surnaturel qu’elle introduit, tandis que le passage du thé se situe pleinement dans la fantaisie, sans même parler du thème de l’intrigue. Les Avengers s’instillent bien ici dans leur royaume de l’imaginaire, loin de l’espionite classique. Cela vaut aussi pour une magistrale discordance de ton instillée par Clemens entre le ton employé et le sujet développé.  Ici l’histoire suggère très fortement que toute la population  du village a été assassinée, mais l’on reste dans le non-dit tout en mettant en avant l’humour et les boutades. Ce nouveau contraste narratif s’avère profondément original au sein des séries d’aventure de l’époque et demeurera fécond tout au long de Chapeau Melon et Bottes de cuir. Le bouleversement du passage au film est judicieusement  souligné par le recours aux extérieurs, la qualité de l’image et de la photographie, ainsi que par le délié de l’action. Enfin Clemens, lors de la visite des lieux et des épatants dialogues entre Avengers,  affirme d’entrée la nature profondément anglaise de la série, considérée comme une garantie de succès à l’intérieur mais aussi à l’extérieur des frontières.

L’épisode dégage par ailleurs un réel intérêt intrinsèque, du moins jusqu’à son segment final. L’ambiance de mystère insolite régnant sur le village se voit fort bien rendu par la mise en scène de Roy Baker, ainsi que par l’emploi de décors d’intérieur finement ciselés ainsi que par la musique. La distribution se montre remarquable, avec d’excellents acteurs de l’époque, Terence Alexander en tête dans le rôle de l’hilarant tenancier de l’auberge, pittoresque pastiche des pilotes de la RAF. Une météo là aussi très anglaise apporte beaucoup à l’atmosphère particulière de l’opus. Clemens aurait d’ailleurs pu encore accentuer les traits anglais caricaturaux que revêtent les imitateurs, mais l’épisode se montre déjà percutant là-dessus. On découvre avec plaisir Patrick Newell dans sa première apparition, fort convaincante, dans la série, tout en  remarquant au passage une évidente doublure lors des scènes de poursuite ! La savoir faire de Clemens restitue avec intensité le malaise croissant des Avengers face à l’étrange, tout en ponctuant effacement le récit de moments chocs.

Malheureusement la levée du mystère déçoit quelque peu. L’on retombe dans une paranoïa issue de la guerre froide finalement assez commune, tandis que, concomitamment, l’on butte de nouveau sur le manque de moyens de la série, avec unique quelques soldats hostiles visibles (Le Mort Vivant accomplira bien davantage en la matière). Les scènes, certes réussies sur la base aérienne et les bâtiments déserts font doublon avec L’Heure perdue, qui va bien plus loin là dessus. Les combats s’avèrent également décevant, avec une Mrs Peel n’ayant clairement pas encore trouve son style si particulier, on se loin pour le coup des performances d’Honor Blackman, même si l’énergie déployée est indéniable. L’affrontement celé de Steed reste un astucieux tour de passe-passe, mais aussi un cache-misère. La conclusion reste également assez abrupte et le tag conclusif n’est pas inoubliable.

EN BREF: Une excellente et subtile mise en place de la  débutante Emma Peel, ainsi que des temps nouveaux désormais abordés par la série. La levée du mystère déçoit toutefois quelque peu.


VIDÉO


Une rencontre à la pointe de l'épée !


INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

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Tournage

o Wighton est Little Bazeley by the sea (Bazeley-les-flots en VF).

o Steed visite la base militaire. Scène tournée à Bircham Newton, Norfolk.

o La scène d'introduction a été tournée à Gun Hill, Norfolk.

o L'épilogue a été tourné à Well End Lodge, Well End.


Continuité

o Lorsque le véritable Brandon expire auprès de Mrs Peel dans la salle de classe, sa tête repose sur le sol, au plan suivant lorsque Emma s'empare de la photographie, sa tête est sur son bras replié.

o Smallwood est poursuivi par les chiens, mais on remarque sur une prise de vue qu'il est devenu blond et plus mince ! En fait, c'est Walter Horsbrugh, le directeur d'école, qui était également poursuivi dans la première version. La scène fut supprimée dans la version avec Diana Rigg (excepté cette vue).

o Lorsque Mrs Peel examine les registres de la paroisse, elle porte des gants blancs et noirs mais dans le plan rapproché, elle n'en porte plus.

o En approchant de l’église de face, Smallwood n’a pas sa valise, mais il l’a au plan suivant de dos.

o Lorsque le vicaire atterrit au sous-sol, on voit distinctement que Ray Austin double Jeremy Burnham.


Détails

o Les maquettes d'avions dans le bar de Piggy Warren refont une apparition dans Mort en magasin.

o Le nom du pub est "The Inebriated Gremlin".

o Dans le train, Steed lit "Great disappearing acts" et Emma "Primary Education".

o Une belle devil mind : lorsque Steed descend de sa chambre et se fait surprendre par Piggy. Il dit avoir besoin d’un ‘nightcap’ (quelque chose qu’on prend avant de se coucher). Les yeux de Piggy se dirigent vers le plafond (allusion évidemment à Mrs Peel) et Steed répond qu’il veut quelque chose qui se boit (consumable). Piggy lui passe alors une bouteille qu’il mettra sur sa note.

o Le chant enregistré entendu dans l'église s'intitule All things bright and wonderful. Il s'agit d'un hymne anglican particulièrement populaire, dont les sources remontent au XVIIème siècle. Sous sa forme actuelle, il fut publié en 1849 et célèbre Dieu en tant que concepteur et créateur de l'Univers. Symbole de l'église traditionnelle, il figure à de multiples reprises dans la culture populaire. Il est ainsi parodié par les Monty Python (Monty Python's Contractual Obligation Album, 1980) et les Goodies (The Goodies Beastly Record, 1978) ou entonné  par les mutants du Secret de la Planète des Singes (1970).

o The butcher, the baker, the candlestick maker, déclare Steed lors de l’exposé au tableau. Il s'agit de l'un des vers d'une célèbre comptine britannique, le Rub-a-dub-dub, publiée en 1798.

o Curiouser and curiouser ! cite également Steed sur la plage. Il s'agit d'une reprise de Lewis Caroll, Alice s'exclamant ainsi lors de ses premiers pas dans le Pays des Merveilles (début du deuxième chapitre, La mare aux larmes).

o Under a spreading chestnut tree, the village smithy stands déclame devant l’âtre un Steed décidément très en verve. Il réalise un clin d’œil au menaçant forgeron car il s’agit des deux premières strophes du poème The Village Blacksmith, de l’américain Henry Wadsworth Longfellow (1841).

o Avec la version Blu-ray, certains petits ‘défauts’ sont visibles ; ainsi, lorsque Mrs Peel rejoint Steed sur la plage, on aperçoit des projecteurs en haut à droit de l’image. On voit également un micro disparaître de l’image par le haut quand Steed entre dans le pub pour questionner Piggy sur la disparition de Mrs Peel. Egalement un micro lorsque Mrs Peel fait remarquer qu’il manque vingt ans dans les registres de la paroisse (haut, à gauche).

o L’expression ‘din-dins’ employée par Peggy est souvent utilisée par les enfants pour ‘diner’.

Acteurs – Actrices

o Patrick Newell (1932-1988) reviendra dans la saison Emma Peel couleur dans Rien ne va plus dans la nursery et sera Mère-Grand dans la saison Tara King. Le rôle de Mère-Grand le rendit célèbre (20 apparitions). Son physique lui permit seulement de jouer auparavant des petits rôles de vilains ou de comiques à la TV. Après les Avengers, il tourna principalement dans des productions secondaires. Il participa néanmoins à un épisode d'Amicalement vôtre dans le rôle du "fat man" ! Ayant perdu du poids de manière importante, il perdit en même temps l'intérêt qu'il pouvait susciter. Il devait prendre part à une convention à Birmingham le jour de sa mort.

o Robert Brown (1921-2003) a interprété quatre fois le rôle de M dans les James Bond : Octopussy, Dangereusement vôtre, Tuer n'est pas jouer et Permis de tuer.

o Jeremy Burnham a écrit cinq épisodes de la saison Tara King. Il fut également scénariste pour divers épisodes des séries Paul Temple, Les professionnels, Bergerac, Inspecteur Morse... Acteur dans les séries Destination Danger, Le Saint, Amicalement vôtre… et deux autres épisodes des Avengers: Les marchands de peur et Ne m'oubliez pas.

o Juliet Harmer (1943) a commencé sa carrière à vingt ans et elle a participé à quelques épisodes de séries britanniques (Destination danger, Département S, Jason King…) et elle est ‘Prune’ dans deux épisodes d’Amicalement vôtre.

À noter que……

o Pour l'édition Optimum sortie en 2010 au Royaume-Uni, un commentaire audio de cet épisode a été fait avec Brian Clemens et Roy Ward Baker, avec la participation de Jaz Wiseman.

o La scène d'escrime a été reprise avec beaucoup moins de succès dans le film.

o Cet épisode fut d'abord tourné avec Elizabeth Shepherd du 29 octobre au 13 novembre 1964, puis en grande partie refait avec Diana Rigg du 21 au 30 juillet 1965 en plein milieu de la saison, ce qui explique l'aisance de Diana Rigg dans le rôle. Ainsi, bien que quatorzième en ordre de production, cet épisode fut le premier diffusé de la saison 4.

o Rodney Marshall, le fils du scénariste, sur le forum international (16 novembre 2013): ‘Sur le site français, il y a une remarque comme quoi une partie de la scène où Steed est seul sur la plage aurait été tournée en studio. Mon père dit que ce n’est pas vrai. Il était avec Brian Clemens sur les lieux du tournage.’

o Pour une critique détaillée du DVD de cet épisode (son, image...), c'est sur le site Kino Digital.

Comparaison éditions DVD Studio Canal / Optimum (par Denis Chauvet):

C'est le premier épisode dans les deux collections, que cela soit l'édition française Studio Canal ou britannique Optimum. Par la suite, Studio Canal suit l'ordre de diffusion, Optimum, l'ordre de production. La durée est sensiblement la même : 49'47 pour Optimum, 49'41 pour Studio Canal, mais cela est sûrement dû au déclenchement de mon chrono ou à l'encart Studio Canal qui précède le générique. Je n'ai pas remarqué de 'manque' sur l'édition Canal.

C'est un plaisir de voir le générique restauré en version originale car même en choisissant la VO, on avait droit au générique et titre français sur Studio Canal ; un générique Studio Canal granuleux, flou et mobile ! Il y a une nette amélioration de l'image même si l'édition Canal n'est pas catastrophique.

Trois exemples (non exhaustif) :

- Lorsque Brandon émerge de son sac plastique (c'est seulement à cette rediffusion que je me suis rendu compte que c'est Brandon qui sort du sac poubelle !), il dit au pêcheur, Saul : 'Looks like rain' ; l'image est subitement affreuse sur l'édition Canal mais toujours excellente sur Optimum.

- Lorsque Steed et Mrs Peel sont sur la plage, il y a un plan du ciel (avec un oiseau) puis sur Steed ; la version Canal a un trait vertical voyant et gênant sur tout l'écran,

- Idem lorsque Brandon ramasse le cadre-photo laissé par Mrs Peel. C'est parfaitement restauré et le défaut n'existe pas sur la version Optimum.

o Coupures de presse lors de la 1re diffusion française.

Télé Magazine

Télé 7 Jours

Télé Poche

Fiche de Voyage sans retour des sites étrangers

En anglais
http://theavengers.tv/forever/peel1-1.htm
http://www.dissolute.com.au/avweb/emmabw/401.html
http://deadline.theavengers.tv/PeelS1-06-MasterMinds.htm
En flamand
http://home.scarlet.be/~pvandew1/avengers/peel02.htm
En italien
http://www.avengers.it/01bn.htm
En espagnol
http://losvengadores.theavengers.tv/peel_town.htm

 

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