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Meurtres distingués5-10-03Caméra Meurtre

INTERFÉRENCES
(NEVER, NEVER SAY DIE)

Steed meets a dead man – Emma fights the corpse

Tournage : Terminé le 14 février 1967

Diffusion : ITV, 18 mars 1967 – 2e chaîne ORTF, 13 octobre 1968

Scénario : Philip Levene

Réalisation : Robert Day

Christopher Lee (Prof. Frank N. Stone), Jeremy Young (Dr. Penrose), Patricia English (Dr. Betty James), David Kernan (Eccles), Christopher Benjamin (Whittle), John Junkin (Sergeant), Peter Dennis (Private), Geoffrey Reed (Carter), Alan Chuntz (Selby), Arnold Ridley (Elderly Gent), David Gregory (Young Man), Karen Ford (Nurse).

Résumé

Un homme, déclaré mort après un accident de voiture, se lève et quitte l'hôpital. L'enquête conduit les Avengers vers une unité de recherches du gouvernement. Le professeur à sa tête est l'homme accidenté ! La création de doubles parfaits étant le but des recherches, les Avengers se demandent si le professeur est vraiment lui-même !

Épilogue

Steed et Mrs Peel regardent la télévision et passent d'une chaîne à l'autre avant de se rendre compte que personne ne pourrait différencier un homme politique de son double.


CRITIQUES

5-10-01

Denis Chauvet

Avis : Cet épisode, essentiellement tourné en extérieurs, vaut surtout pour la présence de Christopher Lee dans un rôle sur mesure. Le thème louche vers les classiques Cybernautes (comme le souligne l’introduction) sans les égaler. Ce duplicate survitaminé massacrant tous les transistors qu’il rencontre est impressionnant, mais il ne peut boucher toutes les invraisemblances du scénario. L’aventure, au rythme soutenu, se laisse néanmoins voir et ne comporte pas de passages ennuyeux nuisibles à de multiples rediffusions. À noter l’excentrique joueur d’échecs qui me fait penser à quelqu’un… La meilleure scène de l’épisode est la finale, lorsque les héros découvrent leur double, Mrs Peel demandant à Steed : "Do you find her attractive ?".

Avec le recul (nouvel avis, janvier 2012): Comme je l’écrivais dans ma critique, Christopher Lee est la vedette de l’épisode, car, sinon, l’histoire n’est pas, ici aussi, inoubliable : les ‘duplicates’ ont pris la place des originaux, bon, ok.  De plus, l’opus a mal vieilli car comment réagirait un duplicate aujourd’hui où tout le monde a un portable ?! Néanmoins, je rehausse ma note à 2,5  (au lieu de 2), surtout pour démarquer l’épisode du précédent et, aussi, pour les scènes intéressantes : l’amateur de modèles réduits, le joueur d’échecs et les Avengers découvrant leurs doubles. Sinon, Never, Never Say Die est un duplicate des Cybernautes et je préfère l’original !

Steed3003 27 janvier 2005

C'est non sans émotion que je critique cet épisode, puisqu'il s'agit du premier que j'ai vu. Il m'avait particulièrement marqué à l'époque.

C'est l'inénarrable Philip Levene qui en a écrit le scénario : un mix du thème des doubles (déjà exploité l'année dernière dans Un Steed de trop) et des Cybernautes. Celui-ci ne s'en cache d'ailleurs pas puisqu'il fait voir à notre héroïne un extrait de ce chef-d'œuvre de la saison 4. Il faut bien avouer que même si le mélange manque de sel, il est très digeste. En effet, même si l'intrigue, digne d'une série B, est trop linéaire et simpliste, elle sait pourtant nous maintenir en haleine, grâce à ses nombreux rebondissements et à son rythme soutenu. Elle fourmille aussi de bonnes idées : comme cette probable victime, impeccable Arnold Ridley dans un rôle pourtant muet, qui contrôle son agresseur avec sa télécommande de bateau mécanique ; une scène hilarante de second degré. Les scènes de cadavres récalcitrants au début de l'épisode sont aussi très drôles. Pourtant, malgré ses excellents dialogues et ces quelques scènes, on ne peut pas dire que l'épisode ait beaucoup d'humour. Philip Levene, notamment dans Le tigre caché ou Remontons le temps, nous avait habitués à un sens de la comédie plus alerte. Néanmoins, il se rattrape avec d'excellents personnages : les militaires ou ce fou d'échecs qui, déjà avant l'ère internet, joue avec des partenaires internationaux par liaison radiophonique. En bref, si ce n'est pas le meilleur de Philip Levene, ça reste du Philip Levene et c'est déjà pas mal.

Robert Day, le réalisateur le plus prolifique de la saison avec six épisodes, est aux manettes. S'il faut bien avouer qu'il n'est pas parmi les plus grandes pointes de la série, il reste tout de même un honnête artisan et nous offre ici un travail de qualité dans la lignée de la saison. Sa mise en scène, plus nerveuse que d'habitude, permet au rythme de ne pas faiblir et se révèle plutôt inspirée. Les scènes d'action, très présentes dans cet épisode, sont parfaitement maîtrisées, avec quelques cascades impressionnantes. Quand Christopher Lee se fait renverser par exemple. Justement, ce dernier, dans un rôle trop peu étoffé, est ici bien mal exploité. Son impressionnante stature compense à peine un jeu dans lequel il se parodie lui-même. Du duel au sommet des acteurs Macnee-Lee, c'est ce cher Macnee qui sort gagnant avec une de ses meilleures interprétations pour la série. Sinon, le niveau d'interprétation général est des plus moyens.

On remarquera que Mrs Peel regarde ses propres exploits dans Les cybernautes au début de l'épisode. Nombrilisme ? Pour une fois dans la série, nos deux agents voient leur vie sauvée par une intervention extérieure, celle du Docteur James. Enfin, Johh Steed et Emma Peel offrent, dans le tag final, un regard des plus cyniques sur la politique : tous nos politiciens ne seraient-ils pas interchangeables ?

Les extérieurs, très nombreux ici, sont tristement nuageux et grisonnants. Quant aux intérieurs , ils sont variables : pour une clinique très commune, on aura droit à des appartements du Professeur Stone faussement high tech et délicieusement désuet.

Mrs Peel est absolument splendide dans cet épisode, avec notamment une robe rouge ( dans le teaser et le tag final) des plus attrayantes. Steed reste fidèle à lui-même, dans des costumes bleu marine ou marron, et à son indéniable élégance.

La musique ultra répétitive (on entend deux mêmes thèmes 4 ou 5 fois) casse rapidement les oreilles.

EN BREF : Si l'action ne faiblit pas, un Christopher Lee mal exploité empêche cet épisode, très bon tout de même, d'être à la saison 5 ce que Les cybernautes sont à la saison 4.

 

Estuaire44 15 Septembre 2013

Interférences apporte un remake supplémentaire à une période déjà bien lestée en la matière. Il s’agit évidemment des Cybernautes, fait que Levene entend encore souligner lors de l’apparition de Mrs Peel. On notera que les Cybernautes auront de plus droit à une suite avec Le retour des Cybernautes, décidément l’imagination créative n’est pas toujours au rendez-vous cette saison. Le plus navrant demeure que l’on retrouve exactement la même version infantilisante du robot, la machine que se déplace en fracassant tout ce qui bouge. Qu’il s’agisse ici d’un androïde ne change rien à l’affaire, le mécanisme basique perdure sans le moindre ajout de curiosité.

Il en va malheureusement de même pour la présence de Christopher Lee, à qui l’on demande simplement de reconstituer une version mineure de sa performance de The Curse of Frankenstein (1957) mais sur un ton bien indigent. La Créature de Frankenstein est un mythe s’inscrivant dans un environnement gothique, les deux sont indissociables pour que l’effet puisse fonctionner. Les X-Files l’auront, eux, bien compris lors du formidable Prométhée Post Moderne, avec la mise en scène ad-hoc. Ici, malgré l’indéniable présence de l’acteur, tout se voit minoré par cette interminable et hors sujet balade en forêt, ponctuée de rencontres plus ridicules que marquantes (on remarque d’ailleurs l’immixtion d’un comique troupier à la Dad’s Army, formidable). 

L’exil ne peut même pas y trouver son compte avec une forêt hivernale dépouillée de tout ramage. Tout cela tourne à vide, avec comme circonstance aggravante que, pour laisser de l’espace à la fastidieuse promenade de Christopher Lee, on laisse clairement les Avengers sur la touche. Steed reste  pérorer à l’hôpital au lieu d’aller au charbon, tandis que Mrs Peel se voit proprement expulsée de l’épisode pour... Aller chercher la signification d’un sigle administratif. Belle exploitation du potentiel du personnage, on l’aura rarement vu atteindre de tels sommets. Elle reçoit plus tard un lot de consolation avec la divertissante partie d’échecs radiophoniques.

Tout comme on se demande comment les infirmiers ont pu ne pas remarquer le poids bien supérieur du robot, on s’interroge aussi sur la raison pour laquelle les Avengers se lancent dans cette affaire que même Mulder aurait eu du mal à vendre à Scully. Les guérisons étonnantes, voire quasi miraculées, existent et aucun crime ni menace contre l’Union Jack n’ont été observés. Il est vrai que le procédé nous vaut une amusante reprise de l’excellent The Strange Case Of The Missing Corpse. Néanmoins, afin de trouver un réel intérêt à l’action, il faut se rabattre sur les secondes rôles, avec l’attachante Dr. Betty James (une nouvelle fois excellente Patricia English) et surtout un Christopher Benjamin toujours aussi dépoilant, même si son râle résulte autrement moins original et construit que celui d’Hooter.

 La seconde partie enregistre un léger regain d’intérêt, quand Levene se décide enfin à réellement exploiter, certes a minima, la nature d’androïde de l’adversaire. Mais là encore il s’embourbe dans la facilité scénaristique, avec trop de hâte à parvenir à l’objectif de la confrontation finale. Il n’est ainsi pas du tout expliqué comment l’inversion des personnages a pu s’effectuer aussi soudainement. Il en va pareillement pour le changement de nature de l’entité, qui passe d’un coup d’un seul du niveau d’un Cybernaute à celui d’une parfaite imitation du comportement d’un être humain. L’auteur oublie qu’en écriture le voyage est souvent aussi important que la destination.

Le combat final ne résulte pas particulièrement spectaculaire et, le tag final des doubles de nos héros s’avère amusant, il e peut à lui suffire à contrebalancer la vacuité précédente. Au total Interférences apparaît comme u immense gâchis. Avoir sous la main Christopher Lee et se contenter de lui faire répéter de manière caricaturale et simpliste un précédente performance, comme un doublon mineur, représente un contresens absolu. Il aurait bien entendu fallu lui impartir un rôle de Diabolical Mastermind à part entière, tout comme ultérieurement un Peter Cushing bien mieux servi. Au moins le grand acteur aura-t-il l’opportunité d’avoir d’avantage à exprimer en saison 6.

EN BREF : Demander à Christopher Lee de se limiter à réitérer l'une de ses grandes prestations de la Hammer, avec moins de moyens, est une erreur manifeste. Mieux aurait valu rechercher une fusion entre son talent et l'esprit de la série, plutôt qu'une redite facile, dépourvue de créativité et hors sujet.


VIDÉO

La faute à pas de chance !


INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

5-10-02

Tournage

o Les scènes de l'hôpital furent tournées à Haberdashers' Aske's School, Elstree. (source : The Avengers Dossier). Le même bâtiment fut le siège de REMAK dans Meurtres au programme et apparut également dans Le retour des cybernautes, Un dangereux marché et Double personnalité. Hélas, cette partie de l’école fut détruite durant les années 90, au cours d’une opération de rénovation.

o Le vieil homme fait du modélisme à Tyke's Water Lake.

o La plupart des scènes en extérieurs furent tournées dans un rayon de cinq kilomètres autour des studios d’Elstree (source : DVD 3 de la collection Optimum, Granada Plus Points).

o Les scènes des accidents du début de l’épisode furent filmées à Grove Park, Watford et Welham Green.


Continuité

o Lorsque Steed se rend au bureau Neoteric Research Unit pour la première fois, il porte un costume et un melon gris. Il en sort en costume et melon marron foncé, ce qui sera sa tenue pour la seconde visite !

o Lors du second ‘accident’, Stone n’atterrit pas près d’une marre d’eau. Au plan suivant, il est pourtant allongé à coté d’une.

o Le soldat tire plusieurs fois sur l'androïde du Professeur Stone et on aperçoit nettement les trous dans le vêtement. Néanmoins, ces trous ont disparu quelques instants plus tard lorsque l'androïde se promène dans la forêt.

o À 12', Steed entre dans le cottage de Stone, que l'on reverra à plusieurs reprises dans l'épisode. Celui-ci est soi-disant situé au milieu des bois ; c'est évidemment un studio, comme l'atteste la vulgaire peinture qui sert d'arrière plan, que l'on peut notamment distinguer à 12'10" et 32'13".

o Patrick Macnee est doublé pendant son combat avec la réplique de Stone et on le voit à plusieurs reprises (à gauche). Christopher Lee a une doublure lorsque Stone est maitrisé dans le cottage par les infirmiers (à droite). Diana Rigg fait le combat final mais c’est Cyd Child qui arrive en Lotus chez Eccles, le joueur d’échecs.

o Cet épisode contient de nombreux extérieurs. On remarquera que le ciel alterne trop souvent entre le bleu et le gris pour une même scène. Difficile de garder une continuité, avec une météo anglaise si capricieuse et des délais de tournage si serrés ! C'est ça aussi qui fait le charme de la série.

o Entre le moment où Emma prend les papiers cachés derrière le tiroir (en gros plan) et l’image suivante où elle les déplie, le document a changé de format !


Détails

o L’ambulance de l’hôpital est une Austin LD Mark II de 1960. Elle réapparaitra dans les épisodes Un petit déjeuner trop lourd, Double personnalité, Etrange hôtel et Mon rêve le plus fou. La première version de cet utilitaire fut employé dans les hôpitaux londoniens dès 1956.  Le châssis et la légère structure (comportant notamment aluminium et plastique) du prototype furent spécialement conçus pour pourvoir se libérer plus aisément des difficultés de la circulation. Le moteur fut aussi étudié de manière à être moins bruyant que la normale.  La Mark II alla encore plus loin en se dotant d’une structure entièrement en plastique.

o L’ambulance de Neoteric est une Bedford J1.

o La voiture de Whittle est une Morris Oxford Traveller série VI.  Produite de 1961 à 1971 elle connut un vrai succès, notamment comme taxi équipé d’un moteur diésel. 

o L’échange entre Steed et Mrs Peel à leur arrivée à l’hôpital fait penser au petit film en couleur The Strange Case of the Missing Corpse. Mrs Peel: ’Where’s the body?’ Steed: ’There isn’t one’. Mrs Peel: ’No body? There’s always a body.’

o Mrs Peel regarde à la télévision un passage de l'épisode Les cybernautes de la saison 4 pendant l'introduction.

o Le nom du professeur Frank N. Stone fait bien sûr référence au célèbre Frankenstein, qu'avait déjà interprété, bien avant Dracula, Christopher Lee pour la Hammer en 1957 dans The Curse of Frankenstein.

o La robe rouge que porte Mrs Peel au début de l'épisode lorsqu'elle regarde Les cybernautes et durant le tag final est la même que celle qu'elle a portée lors d'une séance photo pour la promotion de la série.

o Mrs Peel trouve sur les lieux de l’accident un bout de papier marqué de : ‘MOT-NRU’. Elle trouvera rapidement sa signification : Ministry of Technology, Neoteric Research Unit.

o Steed arrache une page du carnet de Frank Stone. On peut y lire : "See George Eccles, Aerial Cottage, Serious Interference". La page est datée du dimanche 22 octobre 1967.

o Il y a un long cheveu sur le bas de l'écran, en plein milieu, lors de la seconde visite de Steed au professeur Stone.

o Comme dans l'épisode précédent, Meurtres distingués, Terry Plummer (cette fois-ci sans moustache) fait une apparition, en infirmier.

Acteurs – Actrices

o Christopher Lee (1922) a fait ses débuts en 1948, mais ce sont ses films d'horreur avec la Hammer qui le firent connaître mondialement dans les années 50 jusqu'au début des années 70. Il tourna de nombreux films avec Peter Cushing. Il a également joué dans La vie privée de Sherlock Holmes et il est L'homme au pistolet d'or dans le James Bond du même nom. Il avait déjà été pressenti pour être le docteur No dans le premier film de la série. Il fit également une apparition dans le second et troisième volets de La guerre des étoiles. En 2001, il fut fait Commandant de l'ordre de l'empire britannique pour sa longue carrière (227 films) et officier des arts et des lettres en 2002. Il a joué dans un deuxième épisode des Avengers : Interrogatoires, saison six.

o Christopher Benjamin (1934) a participé à deux autres épisodes : Comment réussir un assassinat, saison quatre, et Double personnalité, saison six. Il a la particularité d'avoir joué le même personnage, Potter, dans Destination danger et Le prisonnier. Cela démontrerait que la seconde série est la suite de la première, ce que Patrick MacGoohan, créateur du Prisonnier, a toujours démenti. Il a également joué dans Le Saint, Paul Temple, Poigne de fer et séduction, Thriller, Le retour de Sherlock Holmes, Mission casse-cou, Inspecteur Morse, Inspecteur Barnaby, Dick Turpin… Avant tout acteur de théâtre, en 2008 il joue encore Falstaff avec la RSC, dans de superbes représentations des Joyeuses commères de Windsor, au Shakespeare's Globe. Il fit récemment une apparition remarquée dans un épisode du Dr Who (The Unicorn and The Wasp, 2008). …

o Patricia English a été pressentie pour succéder à Diana Rigg. Elle a tourné dans deux autres épisodes de la série : Mission à Montréal, saison 2 et Le marchand de secrets, saison 3. Vue également dans Département S et Les champions. Elle a la double nationalité : anglaise et américaine. Elle n'a plus tourné depuis le début des années 70.

o Jeremy Young a tourné dans trois autres épisodes de la série : Le club de l'enfer (saison quatre), Ne m'oubliez pas (saison six) et Le monstre des égouts (TNA). Également vu dans Le Saint (deux épisodes), Département S, Regan, Cosmos 1999, Les professionnels, Poirot, Taggart, Cadfael.

À noter que…
o Commentaire de Macnee pour cet épisode : "Par ses côtés fantaisistes, la série reflétait son époque. Parfois même, elle anticipait les évènements. Cet épisode oppose Emma et Steed à leurs propres doubles [c'est malheureusement faux !] , des clones contrôlés par ordinateur. Trente ans avant que des scientifiques plutôt "moutonniers" ne créent Dolly et... Dolly !" - (source : DVD 3 de la collection Optimum, Granada Plus Points)

o On peut lire le script très détaillé de la scène finale dans The Avengers Anew : on y fait état d'un combat entre le double de Steed et celui d'Emma mais le projet fut abandonné car trop compliqué à tourner. Le scénario fut de nombreuses fois remanié pour cause de réalisation trop compliquée. Ainsi, le premier script prévoyait qu'Emma se fasse attaquer par Stone après que celui-ci ait démoli l'équipement radio du joueur d'échecs.

o Cyd Child révèle qu’elle se blessa au dos contre un mur lors de la scène finale. Diana Rigg ne fut donc pas doublée. (source: DVD 3 de la collection Optimum, Granada Plus Points/ Stay Tuned : The Perils of Cyd , Dave Rogers).

o Une image de piètre qualité (tremblotante, poussières, rayures...) à deux moments de 0'31" à 1'28" et de 5'06" à 5'33" sur l'édition DVD kiosque.

o Coupures de presse lors de la 1re diffusion française.

Télé Magazine

Télé 7 Jours

Fiche d'Interférences des sites étrangers :

En anglais
http://theavengers.tv/forever/peel2-10.htm
http://www.dissolute.com.au/avweb/emmacol/510.html
http://deadline.theavengers.tv/PeelS2-10-NeverNever.htm
En flamand
http://home.scarlet.be/~pvandew1/avengers/peel36.htm
En italien
http://www.avengers.it/10col.htm
En espagnol
http://losvengadores.theavengers.tv/peel_never.htm