Les Aventuriers (1967) Résumé : Laetitia une jeune femme qui traîne dans une casse, fait la connaissance de Roland le directeur de celle-ci, qui l'emmène sur un terrain où un avion fait des acrobaties, il s'agit de son ami Manu qui est aux commandes, ils s'entraînent pour tourner un film et récupérer un bon paquet d'argent. Ils sympathisent, et Manu doit passer sous l'arc de triomphe avec son avion, mais il ne peut pas à cause d'un drapeau. Il perd sa licence à vie, et très vite, il apprend qu'on s'est moqué de lui. Il retrouve Leutin celui qui lui a monté la farce, et lui file une correction. Ce dernier lui parle alors d'un avion avec un trésor qui serait au fond de l'eau. Les projets de nos amis étant ruinés, ils partent tous les trois au Congo pour trouver le fameux trésor. Ils sont bientôt rejoints par le pilote de l'avion qui s'est crashé et qui contient le trésor, celui-ci leur indique l'emplacement. Ils trouvent le trésor composé de pièces d'or et de diamants. Mais d'autres sont sur le coup et tentent de voler le butin, lors d'une fusillade sur le bateau, Laetitia meurt. Roland et Manu rentrent et retrouvent la famille de Laetitia et leur donne la part du trésor à son cousin, Roland achète le fort que voulait Laetitia, mais les autres mercenaires les retrouvent et lors d'une nouvelle fusillade, Manu est tué lui aussi. Roland est le seul à rester en vie. Critique : Film réalisé par Robert Enrico, entièrement tourné en couleur. Je n'ai pas trop apprécié ce film que je trouve vraiment, mais alors vraiment longuet. Lino Ventura, fait ici équipe avec Alain Delon (Borsalino, Pour la Peau d'un Flic, Le Battant) une autre grande vedette du cinéma français à cette époque. Cela fait d'ailleurs assez bizarre de voir Delon sortir un peu de ses rôles habituels, il a ici dans ce film, un jeu d'acteur un peu moins froid que d'habitude, ce qui n'est pas désagréable. On retrouve en troisième vedette masculine : Serge Reggiani (Ne Réveillez pas un Flic qui Dort, L'Empreinte des Géants, Plein Fer) et que Lino Ventura retrouvera d'ailleurs un peu plus tard dans L'Armée des Ombres. Petit rôle mais qui est assez marquant pour le film et nous avons également Paul Crauchet, là aussi dans un tout petit rôle mais qui indique à nos amis le fameux trésor à trouver. En vedette féminine c'est Joanna Shimkus (Ho !, Des Fleurs Pour L'Inspecteur, L'Homme Perdu) qui joue une femme un peu paumée et qui n'arrive à réussir dans sa passion et se laisse porter par le duo Manu/Rolland. Hans Meyer (La Grande Vadrouille, Coplan Sauve sa Peau, Le Magnifique) en mercenaire qui veut le trésor et Odile Poisson (Mon Pote le Gitan, Dupont Lajoie, Les Sous-Doués) dans le rôle d'Yvette la petite amie de Manu complètent la distribution. Pas de problème pour le jeu des comédiens, qui font bien leur travail du début à la fin. Si le film a des qualités, des belles scènes comme par exemple celle de la plongée sous-marine, ou encore un tournage en majorité à l'extérieur, il a un énorme mais alors un énorme défaut : il traîne très vite en longueur à cause d'un rythme très lent qui est adopté pendant toute sa durée (1H52 que l'on voit passer je vous le garantis !). Ce qui fait qu'on s'ennuie très vite, par exemple, la scène sur le bateau où Manu/Rolland et Laetitia mènent un peu la belle vie en attendant de trouver le trésor dure une éternité et traîne mais alors traîne... J'avoue ne pas trop apprécier le concept d'images avec juste une musique dessus dans les films. Cela fini par devenir exaspérant. Enfin, de mon point de vue personnel, je trouve que le film aurait dû se terminer à la mort de Laetitia, et qu'il n'y ait pas cet après qui ne sert à rien, même si le personnage de Delon y laisse la vie. C'est rallonger de façon artificielle le film je trouve, et c'est totalement inutile et ça n'amène rien. La musique de François De Roubaix est je trouve à l'image du film : énervante ! Pourtant j'adore De Roubaix et je pense qu'il a fait les plus belles musiques de films, mais là, ce n'est pas mémorable. La musique est rageante à souhait. Le film marchera bien, et fera un peu plus de 3.1 millions d'entrées. Ce n'est vraiment pas un film qui restera dans les mémoires, et il n'est pas indispensable dans la filmographie de Ventura. Le film est disponible en BluRay et DVD. Anecdotes :
Séquences cultes : Moi je suis né avec des ailes. Nous, on adore ça la plaisanterie ! Enterrement sous-marin Bravo, tu lui donnes de drôles d'idées ! Final à Fort Boyard |
Ne nous fâchons pas (1966) Résumé : Antoine Beretto est un patron d'une société de location de bateaux, lorsqu'il voit débarquer des anciens complices truands, ceux-ci lui demandent si il peut les faire passer en Italie avec un de ses bateaux, et si il peut leur prêter de l'argent, ils ont la police aux trousses. Antoine accepte et leur donne 40 milles francs. En échange, ses anciens complices lui disent qu'ils ont une créance à Cagnes-sur-Mer auprès d'un certain Léonard Michalon qui les a arnaqué de 40 milles francs dans une combine de course de chevaux. Antoine part alors à sa recherche. Grâce à son ami Jeff, Antoine retrouve Léonard, mais très vite Antoine s'aperçoit qu'on veut tuer ce dernier, et que c'est le colonel McLean qui en est à l'origine. Devant les attaques incessantes de ce dernier, jusque chez la femme de Michalon, Antoine décide de répliquer en force. Alors que le colonel demande la paix, il fini en cendres comme les autres. Mais alors que Antoine va se débarrasser de Léonard en l'envoyant à l'étranger, à l'aéroport celui-ci l'appelle car il a de nouveaux ennuis avec d'autres truands qu'il a escroqué, les embrouilles reprennent. Critique : Nouveau film réalisé par Georges Lautner entièrement en couleur cette fois-ci, et bien sûr Michel Audiard au scénario et pour les dialogues. On retrouve à peu près le même casting que pour Les Barbouzes. Lino Ventura est donc la vedette de ce film, on retrouve autour de lui : Michel Constantin dans le rôle de son ami qui va l'aider à protéger Michalon, justement nous retrouvons Jean Lefebvre qui incarne Léonard Michalon, le trio masculin étant complété par Mireille Darc pour la vedette féminine et qui retrouve Ventura pour la seconde fois après Les Barbouzes. Viennent compléter la distribution, Tommy Duggan (Le Cerveau, Doctor Who, Les Enquêtes du Commissaire Maigret) qui incarne le colonel McLean, l'anglais escroqué par Michalon et qui n'a de cesse de vouloir l'occire pendant toute la durée du film, car il le soupçonne d'on ne sait trop quoi à propos d'un vol d'or provenant par avion que McLean est en train de monter, et dont Michalon serait au courant. On retrouve aussi Robert Dalban, André Pousse, et même France Rumilly (la célèbre bonne sœur des films Le Gendarme avec De Funès) dans des petits rôles. Si l'idée du personnage de Michalon qui est une vraie plaie pour son entourage et qui ne cesse de geindre en permanence, est bonne, comme pour d'autres films, on s'ennuie assez rapidement en fait, et il est difficile de soutenir tout le film jusqu'à la fin. Certes, la prestation de Ventura, Constantin, Lefebvre et Darc n'ont rien à se reprocher, mais on commence par exemple avec Ventura à être un peu toujours dans le même rôle de donneur de gifles, et on a pas grand-chose de nouveau : même les dialogues d'Audiard ne sont plus rafraîchissant. Le film se limite rapidement aux tentatives de meurtres de la part de McLean et sa clique, et ça ne se limite qu'à ça, et c'est franchement lourd au bout d'un moment. Néanmoins, la seconde partie du film, celle où Ventura et ses associés répliquent est un peu meilleure, et il y a quelques bonnes scènes comme par exemple celle où les anglais se retrouvent au milieu d'un morceau de pont qui a été dynamité par Ventura et ses amis. Tourné majoritairement en extérieur, il offre aussi quelques beaux paysages comme lors de la balade de Ventura avec Mireille Darc. Personnellement, je n'ai vraiment pas trop accroché au film, j'ai eu vraiment du mal a le terminer, même si la scène de fin est assez amusante. La musique de Bernard Gérard (La Grande Sauterelle, Z, L'Insolent) est très énergique et très style british des années 70 : elle n'aurait pas dépareillée dans la série Amicalement Vôtre par exemple. Elle colle parfaitement aux chorégraphies des hommes de McLean lorsqu'ils sont à l'image et elle est vraiment très agréable, comme les autres thèmes comme par exemple celui de Ventura avec Darc. Bernard Gérard fut l'assistant de François De Roubaix, le talent ne s'invente pas. Le film totalisera un peu plus de 1.8 millions d'entrées en France et se classera premier du box office pendant 3 semaines consécutives en 1966. Personnellement, je ne le trouve pas indispensable dans la filmographie de Ventura, c'est à vous de voir. Le film est disponible en DVD et BluRay. Anecdotes :
Séquences cultes : Je souligne poliment l'infraction. Vous êtes vraiment menteur ! Quand je conduis pas, j'ai peur. Mais c'est Monsieur Gangster ! Tu crois que c'est gentil ça, dis ? On est tous très embêtés Non-violence, persuasion, grâce. Je suppose qu'on va encore avoir une belle journée de détente. Je critique pas le côté farce. |
Les Grandes Gueules (1965) Résumé : Hector Valentin arrive dans une scierie en ruines et qui constitue son héritage. À peine arrivé, un certain Therraz, qui possède un grosse scierie voisine, vient lui proposer de lui racheter ses biens comme il l'avait fait avec son père. Mais Hector refuse et veut relancer la société. Lors d'une vente aux enchères, Hector est repéré par deux hommes qui un peu plus tard se présentent à sa scierie pour lui demander du travail. Hector les embauche. En fait Laurent et Mick sont deux sortis de prison, et Laurent veut faire venir un certain Reichmann pour accomplir une vengeance. Hector qui ne réussit pas à trouver de la main-d'œuvre fiable, accepte la proposition de Laurent de faire venir d'autres détenus en conditionnelle, après que Laurent lui ai dit la vérité sur son compte. Mais Reichmann n'est pas dans le premier arrivage des hommes. Grâce aux détenus la scierie commence à repartir malgré les coups bas de Therraz et les problèmes avec les détenus, et Laurent met son plan en marche. Mais alors qu'il va partir avec son amie, à la fête du village après une bagarre, Mick meurt, et les détenus sont ramenés en prison sur ordre du préfet, Laurent retourne voir Hector et trouve la scierie en feu, Hector sait pour Reichmann qui n'est finalement pas venu, Laurent sauve Hector et tous deux partent se venger. Critique : Ce n'est vraiment pas un film exceptionnel. Réalisé par Robert Enrico (Ho !, Le Vieux Fusil, Au Nom de Tous les Miens), c'est une production franco-italienne. Film entièrement en couleur, on se lasse rapidement du rythme adopté par Robert Enrico, en fait, il prend beaucoup de temps à mettre en place le décor et les personnages, puis vient ensuite l'histoire avec les détenus, et l'histoire, je trouve, s'englue rapidement. En co-vedette de Lino Ventura, nous retrouvons Bourvil qui là aussi comme par exemple dans Le Cercle Rouge, joue ici un rôle sérieux et pas du tout amusant : il revient après 20 ans au Canada dans les Vosges pour prendre son héritage, une scierie au bord de la faillite. Ne pouvant compter sur une main d'œuvre sérieuse, il embauche alors Lino Ventura avec son ami Mick, interprété par Jean-Claude Rolland (La Jeune Morte, La Seconde Vérité, L'Espagnol), qui sont des ex-détenus. Bourvil incarne donc le type qui doit non seulement faire face à son ennemi qui a une scierie plus grosse que lui et qui veut le racheter : Therraz, joué par Nick Stephanini, et qui est prêt à tous les coups bas pour mettre hors service Hector Valentin, mais également par la suite tous les problèmes qu'il rencontre avec les détenus en conditionnelle qu'il accepte de prendre pour relancer sa scierie. Bref, à part un ou deux moments où il y a de la détente, Bourvil joue un type qui ne se laisse pas faire et est prêt à se battre pour garder ce qu'il a. On a pas souvent l'occasion de le voir dans ce genre de rôle et il faut avouer qu'il ne s'en sort pas trop mal. C'est assez déroutant au début, mais à la longue, ça passe et Bourvil rend son personnage assez crédible. Aux côtés de Bourvil et Ventura, on retrouve parmi les détenus : Michel Constantin, Jess Hahn, Pierre Frag, Paul Crauchet... ainsi que Marc Eyraud dans le rôle de l'éducateur et qui n'était pas encore le célèbre Inspecteur Ménardeau de la série Les Cinq Dernières Minutes. Pour les rôles féminins, on est plutôt gâtés, puisque ce n'est autre que Marie Dubois (Le Serpent, L'Innocent, La Menace) qui retrouvera Bourvil quelques années plus tard dans La Grande Vadrouille. J'aime beaucoup cette actrice, qui détache un charme très particulier, elle n'est pas exceptionnellement belle, mais possède quelque chose qui passe bien à l'écran. Ici, elle joue le rôle d'une jeune femme qui tombe amoureuse de Ventura, et c'est un plaisir de la voir à chaque fois à l'écran. À ses côtés, nous avons la très très jolie Hénia Suchar (Le Cercle Vicieux, La Scarlatine, Le Temps de Vivre) qui interprète le rôle de Christiane la femme de Mick. Actrice magnifique, que l’on n’a pas assez vu à l'écran. Elle retrouvera Lino Ventura un peu plus tard dans L'Aventure c'est L'Aventure. Elle a petite scène de nue d'ailleurs ici dans le film. Enfin, nous avons également Reine Courtois (La Redevance du Fantôme, Les Cinq Dernières Minutes, Don Juan revient de Guerre) pour un petit rôle de la femme dont Bourvil s'amourache, et qui était plutôt une grande actrice de théâtre. Michel Constantin interprète un excellent salaud pendant tout le film, avec des attitudes vraiment très ambiguës et c'est réellement une mention spéciale pour lui. Le film offre tout de même des extérieurs de toute beauté, et c'est à porter à son crédit. Malheureusement, on n’accroche pas et très vite ça tourne en rond avec les histoires entre détenus, et les hommes de Therraz, et cela devient rapidement lassant. La musique de François de Roubaix est très belle, mais je trouve que là aussi, elle est en décalage par rapport au thème du film. Certes on reconnaît immédiatement la patte de De Roubaix qui nous fait une musique avec un thème vraiment fort, mais j'aurai plutôt vu ce thème pour un western par exemple. Néanmoins, c'est vraiment un plus pour le film. Malgré tout, le film marchera très bien avec presque 3.6 millions d'entrées. Pas indispensable dans la filmographie de Ventura, mais rien que pour voir le rôle sérieux interprété par Bourvil, ça vaut le détour. Le film est disponible en DVD. Anecdotes :
Séquences cultes : Vous avez ramené à boire ? Je marche pas dans vos combines. Fête des bucherons Quelqu'un à voir avant de partir ? |
Les Barbouzes (1964) Résumé : Des meurtres sont commis à bord d'un train, et deux hommes s'en échappent. Parmi eux, Benard Shah, un trafiquant d'armes. La France met donc Francis Lagneau, un espion, sur l'affaire pour le retrouver, mais les autres pays ont également mis leurs agents sur le coup : Eusebio Cafarelli, Hans Müller et Boris Vassilief. Mais Benard Shah meurt à Paris chez des prostituées, et la France fait rapatrier le corps dans son pays auprès de sa femme. Tous les espions des pays viennent alors dans son château dans l'espoir de pouvoir mettre la main sur le stock d'armes nucléaires et biologiques de Benard Shah. Manquait que le commodore O'Brien qui ne tarde pas à se faire connaître au grand dam des autres espions, sans compter les chinois présents dans les passages secrets du château où réside tout ce beau monde. Mais Amaranthe, la femme de Bernard Shah tombe amoureuse de Francis, et décide de lui céder les documents laissés par son mari, commence alors une course semée d'embûches pour les ramener en France. Critique : Nouveau film réalisé par Georges Lautner entièrement en Noir & Blanc également un an après Les Tontons Flingueurs, Les Barbouzes est bien en deçà de celui-ci. Il est même ennuyeux. On retrouve Lino Ventura dans le rôle principal, avec à peu près la même équipe que pour Les Tontons Flingueurs : Bernard Blier, Robert Dalban et Francis Blanche en espion russe. À leurs côtés, on retrouve également André Weber qui était dans Razzia sur la Chnouf, Jess Hahn (Cartouche, Les Tribulations d'un Chinois en Chine, Le Fauve est Lâché), Noël Roquevert et Philippe Castelli. Pour le premier rôle féminin, c'est cette fois-ci c'est Mireille Darc (Les Seins de Glace, Le Grand Blond avec Une Chaussure Noire, L'Homme Pressé) alors toute jeune et très jolie. Et Violette Marceau (Guerre Secrète, La Prise de Pouvoir par Louis XIV, La Fantastique Histoire Vraie de Louis Chapman) qui interprète l'amie d'Amaranthe. Le film commence mal, et je trouve que dès le début on ne sait pas à quoi ça rime, et c'est ennuyeux. Et on retrouve ces défauts tout au long de sa durée. Très vite, en effet, celui-ci s'enlise dans l'ennui et le répétitif, et traîne alors en longueur. Il y a même quelques scènes complètement ridicules comme par exemple la bataille de Ventura contre les chinois : il faut voir Lino Ventura faire du karaté, ça vaut le détour. Même si le film contient quelques passages amusants, comme par exemple celui où Ventura avec les autres barbouzes tuent un nombre impressionnant de chinois dans les catacombes du château, ça n'arrête pas, ça s'entasse de tous les côtés c'est assez marrant, ça marche. Mais alors pour le reste, on est vraiment mais alors vraiment pas dans le rythmé, et il y a réellement de longs passages ennuyeux, on se retrouve avec des discussions interminables autour d'une table. Les quelques scènes d'actions disséminées par-ci, par-là n'arrivant pas à relever le rythme du film. Pourtant les acteurs font leur boulot, il n'y a qu'à voir le jeu de Bernard Blier : c'est assez impressionnant. Ventura est fidèle à lui-même et excellent, et même Mireille Darc tire très bien son épingle du jeu. Mais malheureusement, ça n'accroche pas et ça ne fonctionne pas. Quelques jolies scènes en extérieur, et quelques jolis plans caméra comme lorsque Ventura parle à André Weber avec l'armure juste à côté de lui, mais qui sont malheureusement gâchés par des scènes répétitives. La musique de Michel Magne qui était déjà sur Les Tontons Flingueurs, est assez discrète et ne laissera pas de souvenir impérissable. Le film marchera plutôt bien avec ses plus de 2.4 millions d'entrées, il n'occupera pourtant pas la première place du box-office. Ce film n'est pas vraiment indispensable dans la filmographie de Ventura, et vous vous ennuierez assez rapidement. Le film est disponible en DVD et Blu Ray, mais vous pouvez vous en passer. Anecdotes :
Séquences cultes : Notion bourgeoise des distances Je paie en cash et en dollars Pourquoi ne pas temporiser provisoirement certains réflexes ? Monsieur déjeune ? Tu vas finir par me prendre pour un brutal. |