Vos 10 séquences cultes Voici le classement des 10 séquences cultes préférées des lecteurs du Monde des Avengers: 10) Le Marginal (1983) : Course-poursuite dans les rues de Paris 9) Flic ou voyou (1979) : Pour chasser le diable ! 8) Le Magnifique (1973) : Je crois qu'elle est tombée dans la piscine 7) Le Casse (1971) : Suivez le bus ! 6) Un singe en hiver (1962) - Nous on ne paie plus, on méprise 5) Le Professionnel (1981) : Course poursuite 4) Le Marginal (1983) : Alors George, mon steak ? 3) Flic ou voyou (1979) : L'usage de l'avertisseur est interdit en ville >2) Joyeuses Pâques (1984) : Bonjour, bonjour 1) Le Casse (1971) : Course poursuite dans les rues d'Athènes >Séquences cultes réalisées par Steed3003 |
Le Guignolo (1980) Résumé : Alexandre Dupré qui purge une peine de prison, continue ses vols pendant ses permissions. Néanmoins, sa bonne conduite lui permet de sortir avant la fin de sa peine. En prenant un bateau pour monter une nouvelle arnaque, il tombe sur Sophie Chaperon qui est son pendant au féminin. À eux deux, ils montent une nouvelle escroquerie, et Alexandre se retrouve seul et sans argent. Il décide alors de partir pour l'Italie, mais alors qu'il est dans l'avion, un inconnu qui a caché un microfilm dans un briquet de sa mallette, confie la dite mallette à Alexandre pour qu'il la lui passe aux douanes. Tandis qu'Alexandre tente de continuer ses arnaques, les cadavres pleuvent autour de lui pour trouver le microfilm qui devait être dans la mallette pour un nouveau carburant peu cher. Plusieurs pays sont intéressés dont la France. Après moult péripéties, Alexandre rentre en France, il retrouve le microfilm et le livre à l'élysée. Il est décoré de la légion d'honneur. Critique : Le Guignolo ! Sans aucun doute, dans mon top 5 des meilleurs Belmondo, parfois même en le revoyant, je me demande si ce n'est pas pour moi le meilleur. Réalisé par Georges Lautner qui avait déjà fait le Belmondo précédent : Flic ou Voyou, on retrouve également le trio avec Michel Audiard aux dialogues. Le film n'est pas exempt de défauts, mais il y a des moments anthologiques qui font que ça rattrape largement le reste et c'est pour cela que je lui ai mis la note maximale. Belmondo joue une fois de plus le rôle d'un escroc, et s'en donne à cœur joie. On voit parfaitement qu'il se lâche du début à la fin du film, pourtant il ne tombe pas dans l'excès (sauf pour une ou deux scènes) et c'est tant mieux. À ses côtés, nous retrouvons bien sûr les gens avec lesquels il aime bien travailler, sa bande de copains : Michel Galabru, Georges Géret, Pierre Vernier, Michel Beaune, Philippe Castelli, Charles Gérard, etc. Nous trouvons également dans des petits rôles, Henri Guybet, Maurice Auzel, Paolo Bonacelli, Tony Kendall... Pour le côté féminin, nous avons la très charmante Mirella D'Angelo (La Cité des Femmes, Ténèbres, Hercules) dans le rôle de l'escroc version femme et qui ressemble à Alexandre Dupré. Anne Goddet, la première victime au tableau de Dupré au début du film, Carla Romanelli qui joue Gina la complice de Dupré à Venise, et Von Gretchen Shepard dans le rôle de l'agent X-22. Même si l'intrigue est décousue, même si le générique de début est une horreur et fait plus penser à un film de De Funès plutôt qu'à un Belmondo, même si il y a des longueurs pendant le film, et même si la voix off dans le style Don Camillo aurait pu être évitée, tout ceci est effacé et largement compensé par les moments énormes du film ! Il n'y a qu'à voir la partie de piano entre Dupré et Kamal qui est tout simplement irrésistible, ou bien encore les coups de pieds dans les parties intimes qui font hurler les protagonistes, l'arnaque au tableau et aux bijoux dans l'hôtel à Venise : c'est absolument génial et délectable. On ne rit pas constamment pendant tout le film, et c'est peut-être mieux ainsi, mais lorsque l'on voit les excellents gags, ça marche. Ce film est un vrai vaudeville et on se régale tout au long de celui-ci (par exemple Belmondo réveille Sophie son équivalent en escroc version femme avec du Chanel n°5 et c'est des petits détails ainsi pendant tout le film, voir par exemple l'autre scène dans l'avion lorsqu'il examine la pomme). Pour le reste, c'est du Belmondo classique, vous aurez des cascades et quelles cascades : celle de l'hélicoptère est juste énorme, vous aurez de la baston, et vous aurez de l'humour, bref tous les ingrédients d'un bon Belmondo, vous ne verrez pas passer les 1H40 du film. Moi je suis fan, et je vous le recommande. D'autant qu'en plus vous aurez de superbes extérieurs de Venise et de l'intérieur de ses palais également. La musique de Philippe Sarde et Jacques Offenbach est correcte sans plus, elle accompagne parfois bien l'action, mais parfois on retrouve un peu la même mélodie que dans Flic ou Voyou, c'est dommage. De plus en plus impliqué dans la production et la distribution de ses films, via sa société de Production : Cerito Films, Belmondo avec son frère Alain Belmondo et René Chateau, font une campagne de promotion importante et ça marche. Le film réalise un très bon score avec un peu plus de 2.8 millions d'entrées en France, à peu de choses près aussi bien que Le Magnifique, plus d'un million d'entrées en Allemagne, et un peu plus de 374 milles entrées en Espagne. Une fois de plus, pari gagné pour Belmondo. C'est un film à voir, personnellement je m'amuse toujours terriblement en le regardant. Incontournable de mon point de vue dans la filmographie de Bébel. Anecdotes :
Séquences cultes : Mais ça fait deux minutes que t'as toussé J'ai réservé Permettez-moi de vous appeler Maître Il flotte dans cette pièce comme un parfum de trahison Hélicoptère à Venise Quelle différence y a-t-il entre un con et un voleur ? |
L'As des As (1982) Résumé : Durant la première guerre mondiale, en 1916, un aviateur français et allemand s'affrontent, et se descendent mutuellement. Au sol, ils commencent à se battre, mais devant l'intensité des bombardements respectifs, ils se sauvent la vie. 20 ans plus tard, Jo Cavalier est devenu l'entraîneur de l'équipe de France de Boxe, et se rend à Berlin pour les jeux olympiques. Mais un petit garçon qui lui a demandé son autographe dans le train est abandonné et Jo le prend alors sous son aile ainsi que sa famille qui sont juifs. Jo retrouve son camarade du combat d'avion : Gunter Von Backmann devenu général de la Luftwaffe. Ainsi que Gabrielle, une journaliste dont Jo est tombé amoureux. Après bien des péripéties et des aventures, Jo arrive à sauver le petit Simon et sa famille les Rosenblum, et à les emmener en Autriche pour qu'ils soient libres, en compagnie de Gabrielle. Critique : Ce film n'est certainement pas le meilleur des Belmondo (quoique...) mais je pense qu'il est le plus populaire ! Réalisé par Gérard Oury (Le Corniaud, La Grande Vadrouille, La Folie des Grandeurs) qui est un maître du box-office surtout avec les De Funès, et qui avait déjà réalisé le film au plus haut score au niveau entrées pour Belmondo également : Le Cerveau. Alors on retrouve de suite la patte de Oury par des petits détails dans son film : les déguisements, ou encore par exemple le changement de pancarte qui indique l'Autriche et que de ce fait les protagonistes prennent la mauvaise direction, ou encore certains acteurs choisis... Bref, nous ne sommes pas dépaysés, on sait à quoi nous aurons à faire. Belmondo nous livre ici une performance tout simplement stupéfiante : au moment du film, l'acteur a 49 ans, et le temps ne semble pas avoir de prise sur lui tant il est en pleine forme du début à la fin du film et enchaîne comme dans ses anciens films les cascades sans sourciller ! C'est impressionnant, et rien que pour cela, on dit chapeau à l'acteur. Ici, il tape dans le registre à moitié sérieux, à moitié comique : c'est fluide, pas surjoué, Belmondo passe de l'un à l'autre sans trop de problème, c'est du bon. À ses côtés nous trouvons Jean-Roger Milo (La Clé sur la Porte, Germinal, Les Enragés) dans le rôle de Lucien qui gère l'équipe de boxe avec lui. Nous avons aussi Frank Hoffman (Inspecteur Derrick, Cockpit, Armen et Bullik) l'ami allemand de Jo. Et le jeune Rachid Ferrache (Mille Millards de Dollars, Banzaï, Le Radis Noir) dans le rôle du petit garçon Simon. Pour le rôle féminin, Belmondo retrouve une vieille complice avec qui il a travaillé dans Le Corps de mon Ennemi : Marie-France Pisier, dans le rôle de la journaliste qui se fait humiliée d'abord par Jo, puis dont il tombe amoureux. Dans les seconds rôles, nous retrouvons Benno Sterzenbach qui fait le rôle du commissaire de la Gestapo, et qui faisait déjà le rôle d'un Nazi dans un autre film de Oury : La Grande Vadrouille, en effet, le major Achbach qui veut attraper Bourvil et De Funès, c'est lui. Et nous avons une des premières apparitions à l'écran de Florent Pagny également. Pas de copains de Bébel cette fois-ci dans ce film comme Charles Gérard ou Michel Beaune par exemple, ce qui n'est peut-être pas plus mal. Car cela fait un bien fou de voir des nouvelles têtes autour de Belmondo. Marie-France Pisier est toujours aussi jolie, et son jeu est en adéquation avec son rôle du film, rien de spécial à dire. Alors j'ai un peu hésité avant de lui mettre la note maximale, mais il y a quand même des séquences qui sont extraordinaires : lorsque Belmondo récupère le flambeau pour allumer la flamme, celle de la librairie avec la bagarre avec les allemands, la scène avec le sauvetage de Simon lorsque Jo arrive en avion et saute en parachute, lorsqu'ils dorment à la belle étoile... En fait voilà en quoi est la force du film, et le sentiment que j'avais eu en le voyant la première fois au cinéma lorsque j'étais plus jeune : Belmondo a un rôle de superman, sauveteur de l'enfant et de sa famille, et on adore ça ! Enfin, moi, j'adore ça. Je trouve qu'à ce titre le film est bourré de tendresse du début à la fin : que ce soit ses retrouvailles avec l'enfant, ou son ami Gunter, ou bien alors justement cette amitié qui le lie à Gunter. La séquence avec l'ourson, ou bien Gunter qui par amitié accepte de se sacrifier avec la sœur de Hitler... Et puis le film finit bien : ils retrouvent le petit ourson et ils sont libres, une fin heureuse, ça fait parfois du bien. Pour les cascades donc, vous ne serez pas volés non plus : que ce soit celle avec la voiture (là ce n'est pas des citrouilles sur des motards allemands, ce sont des pneus sur des motards allemands), et celle avec l'avion, Belmondo est encore au top et ça marche. Bref, des bons sentiments, du rire, de la détente, finalement on comprend pourquoi ce film a marché. J'assume entièrement la note maximale, comme je l'ai dit, on n'a pas ici le meilleur Belmondo, mais en sortant de ce film, on a le cœur léger et le sourire aux lèvres, on est de bonne humeur et rien que pour ça il mérite sa note maxi. Autre point important : la bande musicale de Vladimir Cosma qui fait énormément pour le film ! Tous les passages héroïques de Bébel dans le film, vous enlevez le fameux thème principal, ça enlève 80% de l'effet ! Je crois que ça doit être un des thèmes les plus connus des films de Belmondo je pense. Cette musique si entraînante au piano, dès le début du film on a envie prendre la vie du bon côté car elle met de bonne humeur, vraiment une très grande force pour le film et pour laquelle je mets une mention spéciale. Gérard Oury étant le spécialiste du Box-Office, ce film sera le 2e plus gros succès de Belmondo derrière... Le Cerveau de Gérard Oury déjà ! L'As des As fera un peu plus de 5.4 millions d'entrées, c'est moins que Le Cerveau qui avait fait un peu plus de 5.5 millions d'entrées, mais c'est mieux que Le Professionnel et ses 5.2 millions d'entrées. Beau carton du film donc, ce qui arrange bien Belmondo alors coproducteur une fois encore du film, et dont le budget s'élevait à 40 millions de francs. L'As de As fera également un peu plus de 1.4 millions d'entrées en Allemagne et un peu plus de 488 000 entrées en Espagne. Moi je vous le conseille L'As des As, c'est un excellent divertissement. Anecdotes :
Séquences cultes : Avec un K comme Kaput ? Verbotten Beethoven Prends le volant p'tit Parachute Hébergeriez-vous pour la nuit un orphelin sans défense ? |
Le Professionnel (1981) Résumé : Josselin Beaumont est en train de comparaître pour tentative de meurtre sur le colonel N'Jala, président du Malagawi. En fait, il est drogué par ce dernier pour s'accuser au maximum pendant son procès. Il purge sa peine en faisant les travaux forcés, mais un jour avec l'aide d'un autre prisonnier, Josselin s'échappe. Il revient à Paris, Josselin Beaumont est en fait un ancien espion français du service action, et chargé d'éliminer N'Jala en Afrique, il a été donné par ses supérieurs après que l'ordre de tuer N'Jala soit annulé. Beaumont revient se venger de ses supérieurs et va tuer N'Jala qui est à Paris. Les services secrets français mettent alors le commissaire Rosen sur l'affaire, un super flic pour stopper Beaumont. Après avoir déjoué toutes les tentatives pour l'arrêter, et avoir tué Rosen, Beaumont parvient près de N'Jala et le fait assassiner par un policier français, alors qu'il va prendre un hélicoptère pour partir, le chef du service action demande au ministre ce qu'il doit faire pour Beaumont, ordre est donné de le stopper, on tue Beaumont. Critique : Une fois encore, je suis très très mitigé sur ce film, et je pense que je vais aller à l'encontre de l'avis général. Réalisé par Georges Lautner & Jacques Audiard, Lautner avait déjà réalisé Flic ou Voyou et Le Guignolo avec Belmondo. Bébél n'est donc pas en terrain inconnu. On le retrouve cette fois-ci en tueur professionnel des services secrets français. Lâché par sa hiérarchie, vendu même, il se retrouve à faire 2 ans d'emprisonnement dans un bagne africain avant de s'échapper avec l'aide d'un autre détenu. Revanchard, Beaumont revient à Paris pour en découdre avec ses supérieurs, et en finir avec N'Jala le président Africain qu'on avait chargé Beaumont de tuer. Mais la politique a changée, et on veut stopper Beaumont à tout prix. On prend donc un super flic : Rosen, incarné par Robert Hossein qui n'avait par tourné avec Belmondo depuis Le Casse, 10 ans plus tôt. Malheureusement, Rosen se fait éliminer par Beaumont et ce dernier fait tuer N'Jala par un flic français, et alors qu'il va prendre l'hélicoptère pour partir, ses supérieurs qui demandent l'ordre au ministre de ce qu'ils doivent faire, reçoivent celui de le tuer. Beaumont meurt au pied de l'appareil. C'est le troisième film, avec A Bout de Souffle et Borsalino, où Belmondo meurt dans un film. Robert Hossein interprète un flic bien pourri, et finalement on est assez content de le voir se faire dézinguer par Belmondo. On retrouve ensuite Michel Beaune dans le rôle de Valéras, Jean-Louis Richard dans le rôle du colonel Martin, Bernard-Pierre Donnadieu qui était déjà présent dans un autre Belmondo : Le Corps de Mon Ennemi. Pierre Vernier dans le petit rôle de Volfoni et qui est désormais un habitué des Belmondo, Jean Desailly en ministre, et Pierre Saintons dans le rôle de N'Jala. Côté féminin, nous avons Cyrielle Claire (Les Misérables, Triple Agent, San-Antonio) qui joue le rôle de Alice Ancelin, la seule vraie alliée de Beaumont dans les services secrets français, nous avons également Elisabeth Margoni qui interprète la femme de Josselin Beaumont, et Marie-Christine Descouard qui incarne Doris Frederiksen la prostituée de N'Jala. Bref, pas de mauvais acteurs, et tous sont assez convaincants dans leurs rôles respectifs. Il y a des bonnes choses dans le film, comme les cascades et la poursuite en voitures dans Paris, d'ailleurs c'est à ce moment-là qu'on se rend compte de la star qu'était Belmondo, puisque à un moment la poursuite en voitures a lieu sur l'esplanade du Trocadéro : Belmondo pouvait vraiment faire ce qu'il voulait. L'intrigue n'est pas mal non plus et change un peu des autres Belmondo, elle est un peu plus sombre. Pourtant, je n'ai pas trop accroché au film, déjà je trouve que les séquences des tirs au début du film lorsque Beaumont s'enfuit, sont vraiment mal faite ! Ensuite, il y a des longs passages du film où la musique est omniprésente au-dessus de l'image, et ça, c'est réellement agaçant. Vient ensuite la façon dont sont traitées les femmes dans ce film : entre la fille des services secrets juste bonne à servir le café au ministre, la femme de Beaumont qui se fait déshabiller devant Rosen par l'autre folle, et la prostituée de N'Jala qui arrive en string devant l'assistance. On voit tout de suite le niveau de considération pour la gente féminine. Vous me direz, on était dans les années 80, mais tout de même... Mais il y a aussi la mort vraiment mal réalisée de Rosen, je ne sais pas qui a eu l'idée qu'il meurt ainsi, je veux dire qu'il fasse cette façon de mourir : mais ça fait vraiment très con à l'écran ! Il est à genoux et s'écroule au sol comme un sac de pommes de terre. Je pense qu'on aurait pu faire mieux, enfin, la mort de Belmondo à la fin du film est mieux soignée. Les bastons sont pas mal, mais il y a des moments où l'on voit, notamment lorsque Beaumont est prisonnier, que c'est du factice, et que les acteurs ne se frappent pas vraiment : ça gâche un peu le plaisir. Enfin, j'ai un dernier petit problème avec la musique de Ennio Morricone, elle est très belle, très dramatique, dans l'esprit du film. Et accompagne bien l'image, mais alors malheureusement, à cause d'une utilisation idiote dans une publicité : je suis désolé, mais dès que je l'entends, je ne peux m'empêcher immédiatement de visualiser le Labrador Retriever avec la pub pour Royal Canin ! Ce n'est plus possible de l'entendre autrement, et c'est dramatique. Néanmoins, visionnez Le Professionnel, et faites-vous votre avis, mais personnellement je n'ai pas trop accroché à ce Belmondo, et je l'ai trouvé un peu longuet avec son 1H50, d'où la note de 2 bottes. Pourtant, d'un budget confortable de 20 millions de francs, le film fera un carton en faisant plus de 5.2 millions d'entrées en France, plus de 3.2 millions d'entrées en Allemagne, et un peu plus de 676 milles entrées en Espagne. Seuls L'As des As et Le Cerveau auront fait mieux que lui. À vous de voir si vous aimez ou non Le Professionnel. Pour moi, film sympathique, sans plus. Anecdotes :
Séquences cultes : Joss Beaumont, espionnage et chataîgne Course poursuite Le croissant, c'est pour mon ami Moi non, j'irai chez la tienne Je t'avais dit que je serai toujours derrière toi Quant à moi, ça se décide en ce moment |