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Cibles

7-08-03La grande interrogation 

VISAGES
(FACES)

Tournage : juillet 1976

Diffusion : ITV, 14 décembre 1976 – TF1, 12 février 1977

Scénario : Brian Clemens & Dennis Spooner

Réalisation : James Hill

David De Keyser (Prator), Edward Petherbridge (Mullins), Richard Leech (Craig), Neil Hallett (Clifford), Annabel Leventon (Wendy), David Webb (Bilston), Donald Hewlett (Torrance), J.G. Devlin (Tramp), Jill Melford (Sheila), Michael Sheard (Peters), Robert Putt (Attendant).

Résumé

Deux clochards errent dans un bois lorsqu'ils entendent un avertisseur de voiture. L'un d'eux, Torrance, se rend compte que l'homme dans la voiture est son sosie. Haut fonctionnaire de l'État, l'homme de la voiture s'apprête à plonger dans une piscine lorsque le second clochard le tue d'une flèche en plein cœur. Torrance prend sa place juste au moment où Steed, son vieil ami, arrive. L'échange est fait !

Plus tard, dans un foyer de nécessiteux, le Dr. Prator observe un clochard, ayant l'intention de le remodeler pour que cet homme puisse prendre la place du futur Premier Ministre de la reine : Mark Clifford. Steed le croise dans la rue, Clifford semble différent, il a du mal à se rappeler certains faits avant de s'écrouler mort d'une crise cardiaque devant l'agent. Steed se doute de quelque chose. Les éléments se mettent petit à petit en place : le foyer de nécessiteux, le Dr. Prator, le changement de personnalité de certains amis haut placés de Steed. Gambit infiltre le réseau mais Purdey ne doit rien savoir car on ne peut plus faire confiance à personne.

Pendant ce temps, Steed retrouve le cadavre de son ancien ami : le vrai Mark Clifford. Purdey, à son tour, pénètre l'organisation après avoir tué le comparse de Torrance qui tentait de l'éliminer. Steed voit ses soupçons se confirmer par la tentative de meurtre à laquelle il échappe pour être lui aussi remplacé. Cinq ans auparavant, Torrance a prit la place du chef de la sûreté et il remplace les hauts fonctionnaires de l'État par des doubles pour ainsi obtenir des secrets d'État qu'il vend au plus offrant. Purdey risque de tout faire rater en croyant que Mike Gambit est mort et que Steed est un double, elle court droit dans les bras de Torrance pensant qu'il est le vrai chef de la sûreté.

Arrivant chez Steed, en pensant qu'il est un de ses doubles, Torrance se fait avoir car c'est le vrai, tout comme Gambit. Il ne leur reste plus qu'à aller arrêter Prator.

Fin de l 'épisode

Lorsque Purdey et Gambit s'en vont en se chamaillant avec le Dr. Prator, Steed se retourne vers la caméra et dit : "Irreplaceable !"["Irremplaçables"].


CRITIQUES

7-08-01


Denis Chauvet

Avis : Encore une histoire de doubles mais celle-ci ne ressemble pas aux autres. Pas de déjà vu mais de l'originalité ! Les échanges Purdey-Gambit sont parmi les meilleures répliques de la saison et Patrick Macnee démontre qu'il sait se démarquer de Steed. Joanna Lumley en Purdey-Lolita est craquante, le tueur archer est excellent et la mise en scène de James Hill, le meilleur contributeur à la série à mes yeux, est une nouvelle (et dernière) fois magistrale. Même les réticents aux histoires de doubles (dont je fais partie) trouveront de grandes qualités à cet épisode.

Avec le recul (nouvel avis, août 2012): La meilleure histoire de doubles des Avengers, série particulièrement riche en la matière. La couverture du refuge pour nécessiteux est rapidement découverte par Steed, mais le suspense reste présent jusqu’au final. Si nous savons que Gambit et Purdey n’ont pas de double, on reste dans l’expectative concernant l’agent au chapeau melon. Il y a beaucoup d’originalité et des passages vraiment mémorables comme l’échange Terry Walton/Lolita’, une des meilleures scènes de comédie de la série. Les deux autres que je retiendrai est la poursuite d'Harold Bilston par son double à Covent Garden et la rencontre de Purdey avec l’archer à la ‘Base 47’ (‘Oh, dear !’). Une intrigue plaisante de Clemens et Spooner, gages de succès, avec des rebondissements et des quiproquos. Gambit a un accent irlandais difficile à saisir et Purdey n’a pas l’air de trop se forcer pour jouer les dévergondées, ce qui démontre les talents d’acteurs de Gareth Hunt et Joanna Lumley. A noter que Steed fait plus confiance à Gambit qu’à Purdey…Sans être dans mon top three de la saison, de trois, je passe à quatre melons pour cet épisode.

Steed 3003 20 novembre 2004

Après le très bon Un Steed de trop et le moins bon Mais qui est Steed ?, Les Avengers reviennent une fois de plus sur le thème des doubles… avec succès !

De toute façon, on ne pouvait douter un seul instant que l'association de scénaristes tels que Brian Clemens et Dennis Spooner pouvait accoucher d'un mauvais épisode ! En effet, malgré une intrigue dense et complexe, l'épisode, contrairement à Un Steed de trop, se suit sans difficulté. Le thème des doubles (même s'il utilise l'inévitable et éternelle bonne ficelle de la suspicion entre nos agents) est très intelligemment exploité, malgré, il est vrai, les nombreuses invraisemblances qui parsèment le scénario, inhérentes de toutes façons à ce type d'histoire. Entre les rebondissements particulièrement bien amenés et les nombreux quiproquos, l'épisode est un délice. Nos deux scénaristes ont même eu l'idée (on s'étonne d'ailleurs qu'il ne l'ait pas eue plus tôt dans la série) d'affubler nos deux agents de multiples déguisements, ce qui donne lieu à de nombreux moments d'humour. Les dialogues sont excellemment écrits (quelques hilarantes répliques émaillent même l'épisode) ; on sent que Clemens et Spooner connaissent leurs personnages sur le bout des doigts. Ils osent même montrer leurs faiblesses (ce qui est rarissime dans les Avengers : souvenez-vous de Mrs Peel qui n'avait quasiment aucune peur, comme le prouvait le test dans Les marchands de peur, et qui apparaissait dans la majorité des épisodes comme sans défaut). Voir Purdey, alors qu'elle croit à la mort de Gambit, fondre en larmes est particulièrement inattendu et émouvant. L'épisode contient aussi quelques scènes d'une effroyable cruauté, comme celle du choix des futurs doubles parmi des sans-abris endormis au début de l'épisode. Ainsi, les New Avengers se démarquent des oldAvengers en essayant d'élargir la palette, déjà très chargée il est vrai, de genres sur lesquels jouaient la série précédente. C'est un succès incontestable ! À noter aussi la fin, totalement "sériesque", avec Steed s'adressant à la caméra, tel un clin d'œil au téléspectateur, en disant malicieusement de ses deux partenaires : "Irremplaçables !".

Jusque-là, on pourrait se demander pourquoi je n'ai mis que trois étoiles à l'épisode. C'est malheureusement la réalisation paresseuse de James Hill qui justifie cette note. Alors qu'il avait quasiment sauvé l'épisode Pour attraper un rat par une excellente réalisation, son travail est ici beaucoup plus contestable. Entre des innovations vaines (zooms arrières et avant sans intérêt, caméra qui tourne quand Clifford chute dans l'escalier...) et les problèmes des doubles très mal gérés, sa réalisation dessert malheureusement le scénario. On se rattrapera sur des scènes en extérieur avec une belle profondeur de champ, des scènes de combats très bien tournées et, comme à son habitude, une excellente direction d'acteurs (l'interprétation est ici bien au-dessus de la moyenne des Avengers) ; mais tout ça reste bien maigre quand on pense à la totale réussite que cet épisode aurait été dans les mains de John Hough ou de Ray Austin.

Beaucoup de choses nous sont révélées sur nos trois agents au cours de cet épisode : on remarquera que Steed devient de plus en plus sérieux (trop ?) ; son côté grand enfant des old Avengers n'apparaît quasiment plus. Il a même adopté un humour plus conventionnel, moins osé. On apprend néanmoins, au détour d'une réplique, qu'il est "le célibataire le plus en vu" ! Purdey et Gambit dévoilent de nombreuses facettes de leur personnalité pendant cet épisode. Ils révèlent des talents d'acteurs insoupçonnés (ce qui nous vaut de mémorables prestations de leurs interprètes respectifs). Voir Purdey en visiteuse des pauvres est inoubliable ! Cette dernière se montre aussi plus vulnérable dans cet épisode. Comme dans Cible, leur relation atteint ici un équilibre parfait entre humour et sentiment.

Par ailleurs, si les extérieurs de cet épisode sont véritablement splendides, les intérieurs sont moins convaincants, ils manquent de personnalité (la geôle de Gambit notamment).

Purdey nous offre un festival de mauvais goût dans cet épisode. Ne manquez surtout pas son affreux ensemble rose ou son "sac à patates" rempli de motifs floraux ! On se croirait déjà dans Absolutely Fabulous ! Les déguisements sont, eux, très réussis.

Si la musique est moins excellente que d'habitude (elle paraît plus répétitive), elle reste tout de même très correcte.

EN BREF : Le meilleur scénario des Avengers sur le thème des doubles, malheureusement desservi par une réalisation approximative. Les nombreux grands moments qui parsèment l'épisode font tout de même de lui un épisode hautement recommandable.

Estuaire44 25 Mai 2015

Quasiment chaque saison des Avengers aura connu son histoire de double, un thème particulièrement en vogue  durant les années 60. Il se voit brillamment illustré par Visages, qui réunit les conditions essentielles permettant à cette figure de style de fonctionner au mieux :  un complot hostile, un double bien réel et une ambigüité sur le véritable identité du protagoniste. Il se rapproche en cela du brillant succès de L’Homme aux deux ombres, établissant un pont joliment nostalgique avec cette grande réussite de l’ère Cathy Gale. Cette convergence souligne quel point cette période et celle des New Avengers se ressemblent, avec des récits d’espionnage accordant une moindre importance à l’insolite : dans les deux récits le justificatif se borne à la seule chirurgie esthétique.

Le très efficace scénario de Spooner et Clemens va optimiser ce choix initial extrêmement porteur. Il sait ménager ses effets, passant progressivement d’une situation classique à un enchevêtrement diabolique de situations instaurant une véritable paranoïa, on se croirait parfois chez les Envahisseurs.. A cet égard, les auteurs font un cadeau empoisonné à Gambit en l’instaurant comme confident de Steed. De fait cela place bien davantage Purdey au centre du récit, comme focus principal de cet inquiétant vaudeville la plaçant dans une situation quasi hitchcockienne. Tout comme Gambit lors de Target !, mais de manière plus émouvante encore, Purdey a aussi l’occasion de fendre l’armure concernant ses véritables sentiments envers son partenaire. Un double évènement malheureusement sans suite, les New Avengers se cantonnant par la suite à poursuivre leur marivaudage léger. Joanna Lumley, nonobstant des robes souvent très papier peint, se montre remarquable, à l’instar de ses collègues visiblement ravis de varier lueur registre.

On pourra certes tiquer sur certaines faiblesses de l’intrigue, comme le chirurgien ne cillant pas devant l’arrivée quasi simultanée de deux parfaits sosies de ses cibles, ou ignorant qu’une cicatrice post mortem, donc ne cicatrisant pas, ne devrait tromper personne. De par sa situation, Torrance devrait également pouvoir mieux informer ses doubles quant aux cibles visées. Mais la maestria du mécanisme de Clemens et Spooner emporte ces réserves, de même que la remarquable mise en scène de James Hill. Celui-ci tire le meilleur parti de remarquables localisations, rendant intenses les diverses scènes de combat ou d’exécution (excellente idée du tueur archer). Usant d’effets très simples, il souligne également avec habilité l’étrange situation voyant le double se substituer à l’original. Les auteurs savent ne pas s’encombrer d’un combat final ici hors sujet. La conclusion lapidaire et incisive d’un Steed perçant le Quatrième Mur (Irreplaceable !) demeure l’une des meilleures de toute la série.

 

EN BREF : L’association Clemens/Spooner sait sublimer le thème rebattu des doubles, pour en tirer une intrigue captivante plaçant la vaillante Purdey au cœur d’un cauchemar. Réalisation et interprétation sont au diapason de ce très grand épisode des New Avengers.


EXTRAIT VIDÉO


Agents doubles

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Posted by Le Monde des Avengers on Thursday, June 4, 2015

Purdey au bord du gouffre !


INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

7-08-02


Tournage

o Bilston se retrouve face-à-face avec son double et il est poursuivi par les deux tueurs. Scène tournée à Londres, Covent Garden, qui est associé à l'ancien marché de fruits et légumes de la place centrale. A la fin des années 1960, les embouteillages causant des problèmes, le marché dut déménager au New Covent Garden Market. Le bâtiment central a été rouvert comme centre commercial en 1980, et il est maintenant un lieu touristique contenant cafés, pubs et petits commerces. Lors du tournage de cet épisode, les lieux étaient désaffectés, mais on peut voir les résultats après ouverture dans la série Mission casse-cou, tournée entre 1984 et 1986.

Visages - Covent Garden 1    Visages - Covent Garden 2

o Steed rencontre son vieil ami, Mark Clifford, sur les marches du Royal Albert Hall, Prince Consort Road à Londres. Inauguré en 1871, le Royal Albert Hall constitue l’un des exemples les plus célèbres du style victorien. Il abrite des concerts de tous types, pouvant accueillir plus de 5 000 personnes. L’Eurovision 1968 s’y est déroulée. Un des plus fameux symboles de Londres, le Hall est aperçu dans de nombreux films dont Le monde ne suffit pas (2002) et Le monde de Narnia (2005).

Visages - Royal Albert Hall

o Le combat entre Purdey et Mullins a été tourné dans le sanatorium de Pinewood, où furent également réalisés les parcours de tir de Target. Un autre secteur de l’établissement fut choisi, afin d’éviter un doublon (sinon un double).

 

o La piscine vue en début d’épisode ressemble beaucoup à celle de Mother  dans All Done With Mirrors. Effectivement, dans les deux cas il s’agit de celle de celle de la propriété de Kendal's Hall, à Radlett, dans le Hertfordshire.(source : Avengerland).

Continuité

o La photo de Purdey contenue dans le dossier de Prator est la même que celle détenue par Draker et Klokoe dans l’épisode précédent, Target !.

Target !

visages es 1

 

Faces 

visages es 2

Détails

o L’enseigne ‘Mission for the Distressed & Needy’ cache des opérations inquiétantes. L’enseigne rappelle Le mort vivant de la cinquième saison.

Visages - Mission for the distressed and needy

o Purdey utilise le français pour décrire l’ambiance morose ; ‘an air of gloom, a lack of joie de vivre’.

o Le Times, déjà utilisé, est le journal de référence de la série. Ici, il annonce en première page la mort de Mark Clifford, potentiel premier ministre et ami de Steed.

Visages - Times

o La société Minear. Munday & Miller Ltd, fut véritablement présente à Covent Garden avant la fermeture du marché aux fruits. Fondée en 1927, elle avait des liens en Australie. Elle n’existe plus de nos jours.

 Minear. Munday & Miller Ltd

o Purdey nous offre un festival de mauvais goût dans cet épisode. Ne manquez surtout pas son affreux ensemble rose ou son "sac à patates" rempli de motifs floraux ! On se croirait déjà dans Absolutely Fabulous!

Purdey Fashion

o Une Avengers girl en larmes : les TNA se démarquent par ce point des Oldies car Mrs Gale, Mrs Peel et Tara King n’ont jamais versé de larmes.

Purdey en larmes

o La voiture où Clifford a laissé le champagne au frais est une Rolls-Royce Silver Cloud II Saloon. Fabriquée de1955 à 1966, la Silver Cloud devint l’une des références du luxe anglais durant les années 60. Cette somptueuse voiture est connue comme étant le véhicule de nombreuses stars, dont Elvis Presley, Peter Sellers ou Franck Sinatra.

 

o Torrance  conduit une Daimler DS420, dite Daimler Limousine. Cette voiture de grand luxe, produite de 1968 à 1992, équipa plusieurs chefs d’état, dont les familles royales de Grande-Bretagne et de Suède. Elle est également utilisée lors de nombreuses funérailles de personnalités. La Daimler Limousine accueille James Bond et Miss Moneypenny dans Tomorrow Nevers Dies (1997). 

Acteurs

o David De Keyser a débuté sa carrière en 1955 et il est toujours actif plus de cinquante ans plus tard ! Deux très brèves apparitions dans les James Bond, Au service secret de sa Majesté et Les diamants sont éternels. On l'a vu dans les séries Madigan (avec Richard Widmark), Thriller, Les professionnels, Bergerac, Poirot.

o Edward Petherbridge (1936) fut nominé deux fois pour le Tony Award de Broadway en tant que meilleur acteur. Il fut une figure de la troupe de Laurence Olivier durant les années 60 et connut un grand succès à Broadway.

o Neil Hallett (1925-2005) a joué dans de nombreuses séries britanniques autre que The Avengers : Le Saint, Département S, Amicalement vôtre, Les professionnels, Le retour du Saint, Bergerac…Il a quatre autres participations à la série : Dead of Winter (saison 1), Le vengeur volant (saison 5), Les évadés du monastère (saison 6) et Steed et la voyante (The New Avengers).

o Jill Melford (1934) a été évacuée vers les USA pendant la seconde guerre mondiale. Elle fit ses débuts au théâtre à New York en 1949 puis à Londres en 1953. Elle a également tourné dans des séries américaines puis britanniques (Le Saint et Destination danger.). Sa dernière apparition à l'écran remonte à 1993 (Taggart).

o J.G. Devlin (1907-1991) est un acteur natif de Belfast. Il débuta sur les planches en 1932 et au cinéma en 1955. Vu dans les séries britanniques : L'homme à la valise, Les champions et Regan.

o Michael Sheard (1938-2005) était un grand ami de Ronald Lacey. Il débuta sa carrière en 1962 dans la série Suspense et il tourna dans plus de 120 films ou séries dont Paul Temple, Jason King, Amicalement vôtre, Colditz, Poigne de fer et séduction, Regan, Cosmos 1999, Van der Valk, Les professionnels, Dr Who, Coronation Street…Il joua le rôle d'Hitler dans quatre films. Il est l’Amiral Ozzel, mis à mort par Darth Vador pour ses erreurs, dans L'empire contre-attaque.

À noter que...

o Clemens reprit en fait ce script, alors que Spooner n'en avait achevé que la première moitié.

o À la fin de l'épisode, lorsque Steed évoque son double, il dit : "il est dans" et plus rien : la scène est coupée ! La phrase manquante en VO est : "He looks like me and he even has the same habits as me. I locked him in the cellar. I bet he's halfway through my '61 claret". ["Il me ressemble et il a les mêmes habitudes que moi. Je l'ai enfermé à la cave. Je parie qu'il a déjà bu la moitié de ma réserve de 61."].

o Coupures de presse lors de la 1re diffusion française.


Fiche de l'épisode Visages des sites étrangers :

En anglais

http://theavengers.tv/forever/newave-9.htm
http://www.dissolute.com.au/the-avengers-tv-series/new-avengers/n09-faces.html
http://deadline.theavengers.tv/NAS1-09-Faces.htm

En flamand
http://home.scarlet.be/%7Epvandew1/avengers/newav10.htm

En italien
http://www.serietv.net/guide/gli-infallibili-tre/stagione_1.htm

Retour à la saison 7

800x600

o Purdey utilise le français pour décrire l’ambiance morose ; ‘an air of gloom, a lack of joie de vivre’.

o Le Times, déjà utilisé, est le journal de référence de la série. Ici, il annonce en première page la mort de Mark Clifford, potentiel premier ministre et ami de Steed.

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