Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Publié : lun. déc. 26, 2016 2:22 pm
Patricks : "Il y a dans cet épisode la force et la faiblesse des new avengers. En effet, comme dans l'âge d'or, il s'agit d'une histoire qui fait un peu peur avec une sorte de tueur invincible (comme par exemple dans la dynamo vivante). Mais à partir d'un bon scénario, la mise en scène traîne en longueur et tous les effets sont "attendus". Un épisode qui court à la recherche de l'âge d'or, tente de copier l'ancienne formule sans y parvenir.
Pourtant, de bons comédiens sont au rendez vous, citons Ed Devereaux (le père des enfants, monsieur Hammond, dans la série australienne "Skippy le kangourou", visage familier du petit écran, on le revit aussi avec Simon Dutton dans l'episode australien du saint).
L'ex-agent qui tente de prévenir Steed du danger est fort crédible lui aussi, et la musique sinistre.
Parce qu'il hésite entre copier l'âge d'or et jouer la carte du réalisme de la version 76, "le baiser de Midas" échoue quelque part. Tout était en place pour un bon épisode: scénario, rebondissements, comédiens, et à l'arrivée, on reste sur sa faim."
Pourtant, de bons comédiens sont au rendez vous, citons Ed Devereaux (le père des enfants, monsieur Hammond, dans la série australienne "Skippy le kangourou", visage familier du petit écran, on le revit aussi avec Simon Dutton dans l'episode australien du saint).
L'ex-agent qui tente de prévenir Steed du danger est fort crédible lui aussi, et la musique sinistre.
Parce qu'il hésite entre copier l'âge d'or et jouer la carte du réalisme de la version 76, "le baiser de Midas" échoue quelque part. Tout était en place pour un bon épisode: scénario, rebondissements, comédiens, et à l'arrivée, on reste sur sa faim."