« 200 dollars plus les frais », dont le titre original est « The Rockford files », est une série policière mettant en scène un détective privé, James Rockford (dit « Jim ») qui s’occupe uniquement des affaires classées.
http://lemondedesavengers.fr/hors-serie ... -1974-1980
200 dollars plus les frais (1974-1980)
200 dollars plus les frais (1974-1980)
Chapeau melon et bottes de cuir est un témoignage historique et un refuge de valeurs dans une Grande-Bretagne devenue excessivement multiculturelle dont les traditions tendent à se liquéfier en magma insipide (critique de Bright Horizon).
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
Les saisons 4 à 6 seront traitées dès que j'en ai fini avec "Opération danger".
- Steed3003
- Site Admin
- Messages : 460
- Inscription : dim. déc. 25, 2016 8:32 pm
- Localisation : Londres
- Contact :
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
Super, merci Patricks !
LE site sur les plus grandes séries TV et sagas cultes du cinéma : http://lemondedesavengers.fr
LE forum des passionnés : http://lemondedesavengers.fr/forum
LE forum des passionnés : http://lemondedesavengers.fr/forum
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-01- Rockford contre Rockford (Beamer’s last case) **
Histoire de Booker Bradshaw et Calvin Kelly. Adaptation : Stephen J. Cannell. Réalisation : Stephen J. Cannell.
Résumé
Jim Rockford, de retour de vacances aux Caraïbes, se rend compte que pendant son absence, un imposteur a pris sa place.
La critique
On trouve l’intrigue un peu simpliste et pas franchement crédible. L’agence de Jim a des problèmes financiers, et se faire passer pour lui paraît invraisemblable.
Il fait son enquête chez Monica Steele (Bibi Bresch) qui a eu une liaison avec un certain Dave Morgan. Monica a demandé à Jim de l’aider.
Bien entendu, on attend le moment où Jim va démasquer l’imposteur. Cela arrive chez son garagiste, où l’un des mécaniciens, Fred Beamer (James Whitmore Jr) est son homme. Il s’agit du paumé qui s’est fait passer pour lui, passionné par la vie des détectives.
Hésitant entre humour et sérieux, l’épisode ne trouve jamais le ton juste. Le thème de l’imposteur a été abordé dans d’autres séries (comme Amicalement vôtre) avec davantage de pertinence.
Finalement, Beamer est blessé par balles. Il veut devenir détective privé. Le policier Dennis Becker (Joe Santos) prête main forte à notre héros en le mettant sur la piste de Phil Moreno (Howard George), qui dirige une compagnie de taxis. Un autre personnage, Manny Arturis (Robert Loggia) semble mêlé à l’affaire.
Les retrouvailles avec Jim dans cette saison 4 sont quelque peu décevantes. Il a affaire à un mythomane. L’ambiance loufoque ne convient pas du tout à la série. On se croirait presque à certains moments dans Max la menace.
Un épisode vraiment mineur.
Anecdotes
Bibi Bresch (1942-1996) est prématurément décédée d’un cancer du sein. On l’a vue dans Star Trek 2, la colère de Khan.
James Whitmore Jr (1948-) est surtout connu comme réalisateur.
On regretta qu’une des jolies filles de l’épisode, nommée Brenda, ne soit pas créditée au générique.
Histoire de Booker Bradshaw et Calvin Kelly. Adaptation : Stephen J. Cannell. Réalisation : Stephen J. Cannell.
Résumé
Jim Rockford, de retour de vacances aux Caraïbes, se rend compte que pendant son absence, un imposteur a pris sa place.
La critique
On trouve l’intrigue un peu simpliste et pas franchement crédible. L’agence de Jim a des problèmes financiers, et se faire passer pour lui paraît invraisemblable.
Il fait son enquête chez Monica Steele (Bibi Bresch) qui a eu une liaison avec un certain Dave Morgan. Monica a demandé à Jim de l’aider.
Bien entendu, on attend le moment où Jim va démasquer l’imposteur. Cela arrive chez son garagiste, où l’un des mécaniciens, Fred Beamer (James Whitmore Jr) est son homme. Il s’agit du paumé qui s’est fait passer pour lui, passionné par la vie des détectives.
Hésitant entre humour et sérieux, l’épisode ne trouve jamais le ton juste. Le thème de l’imposteur a été abordé dans d’autres séries (comme Amicalement vôtre) avec davantage de pertinence.
Finalement, Beamer est blessé par balles. Il veut devenir détective privé. Le policier Dennis Becker (Joe Santos) prête main forte à notre héros en le mettant sur la piste de Phil Moreno (Howard George), qui dirige une compagnie de taxis. Un autre personnage, Manny Arturis (Robert Loggia) semble mêlé à l’affaire.
Les retrouvailles avec Jim dans cette saison 4 sont quelque peu décevantes. Il a affaire à un mythomane. L’ambiance loufoque ne convient pas du tout à la série. On se croirait presque à certains moments dans Max la menace.
Un épisode vraiment mineur.
Anecdotes
Bibi Bresch (1942-1996) est prématurément décédée d’un cancer du sein. On l’a vue dans Star Trek 2, la colère de Khan.
James Whitmore Jr (1948-) est surtout connu comme réalisateur.
On regretta qu’une des jolies filles de l’épisode, nommée Brenda, ne soit pas créditée au générique.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-02- Un chapitre difficile (Trouble in chapter 17) **
Scénario : Juanita Bartlett. Réalisation : William Wiard.
Résumé
Jim devient le garde du corps d’une femme auteur d’un livre contre les féministes, Ann Louise Clement, promouvant la femme soumise. Celle-ci a été victime de plusieurs tentatives de meurtre.
La critique
Dans une société en pleine évolution, Ann Louise Clement (Claudette Nevins) défend l’idée de la femme soumise à son mari. Elle vient d’écrire un livre, et a demandé pour la protéger Jim. Le mari, Bud (Ed Nelson) est particulièrement jaloux.
En 1977, Ed Nelson dont les cheveux ont prématurément blanchi a pris un sacré coup de vieux depuis Peyton Place.
Jim soupçonne le mari, après la dernière tentative de meurtre contre Ann Louise. Marty (Arlene Martel), l’agent littéraire de l’auteur, est assassiné. Bud a une maîtresse, Jane Avery (Donna Baccala). Son frère, Jack (Arthur Roberts), est au courant de l’histoire.
Claudette Nevins fait un tel cabotinage que James Garner manque d’espace pour jouer.
En dehors d’Ed Nelson, les vedettes invitées ne sont pas brillantes, et l’ensemble s’en ressent. Le scénario est assez caricatural. Bud souffrirait d’impuissance d’après sa femme, pourtant il a une maîtresse. Donna Baccala est peu crédible, avec son physique de femme de tous les jours, en vamp.
Au lieu de passer du temps devant un bon polar, on s’ennuie ferme. On est plus proche du vaudeville que de la série policière.
Le réalisateur essaie de jouer la carte de l’humour, mais tout cela ne prend pas. Un épisode très moyen.
Anecdotes
Ed Nelson (1928-2014) est célèbre pour le rôle du docteur Rossi dans Peyton Place.
Scénario : Juanita Bartlett. Réalisation : William Wiard.
Résumé
Jim devient le garde du corps d’une femme auteur d’un livre contre les féministes, Ann Louise Clement, promouvant la femme soumise. Celle-ci a été victime de plusieurs tentatives de meurtre.
La critique
Dans une société en pleine évolution, Ann Louise Clement (Claudette Nevins) défend l’idée de la femme soumise à son mari. Elle vient d’écrire un livre, et a demandé pour la protéger Jim. Le mari, Bud (Ed Nelson) est particulièrement jaloux.
En 1977, Ed Nelson dont les cheveux ont prématurément blanchi a pris un sacré coup de vieux depuis Peyton Place.
Jim soupçonne le mari, après la dernière tentative de meurtre contre Ann Louise. Marty (Arlene Martel), l’agent littéraire de l’auteur, est assassiné. Bud a une maîtresse, Jane Avery (Donna Baccala). Son frère, Jack (Arthur Roberts), est au courant de l’histoire.
Claudette Nevins fait un tel cabotinage que James Garner manque d’espace pour jouer.
En dehors d’Ed Nelson, les vedettes invitées ne sont pas brillantes, et l’ensemble s’en ressent. Le scénario est assez caricatural. Bud souffrirait d’impuissance d’après sa femme, pourtant il a une maîtresse. Donna Baccala est peu crédible, avec son physique de femme de tous les jours, en vamp.
Au lieu de passer du temps devant un bon polar, on s’ennuie ferme. On est plus proche du vaudeville que de la série policière.
Le réalisateur essaie de jouer la carte de l’humour, mais tout cela ne prend pas. Un épisode très moyen.
Anecdotes
Ed Nelson (1928-2014) est célèbre pour le rôle du docteur Rossi dans Peyton Place.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-03- Des gens ordinaires (The battle of Canoga Park) **
Scénario : Juanita Bartlett. Réalisation : Ivan Dixon.
Résumé
Rockford est accusé du meurtre d’un certain Robert Riddy. Il faisait partie du régiment de Corée où Jim a servi.
La critique
Retour de deux personnages récurrents de la série : le supérieur de Dennis Becker, le lieutenant Thomas Dielh (Tom Atkins) et surtout la belle avocate Beth (Gretchen Corbett).
L’épisode renoue avec le pur genre policier. L’intrigue est en lien avec le passé de Jim Rockford en Corée. Il était dans la même division, lors de la guerre, que la victime.
La piste mène aux anciens de la guerre de Corée, après un attentat commis contre la caravane de Jim avec une grenade. Le suspect est un certain Leonard Wenke, fils de la femme de ménage du père de Jim.
Dennis Becker et Jim s’intéressent à une certaine Lee Ronstadt (Adrienne Marden). Son fils serait le suspect idéal. Le père de Jim fait admettre à un certain Chalco, mêlé à l’affaire qu’il connaissait la victime.
Les apparitions de Gretchen Corbett se comptent en courtes minutes, ce que l’on déplore.
Le niveau de la série se situe un peu en dessous de Cannon. Les enquêtes du privé Jim Rockford manquent un peu de cohérence, ce petit quelque chose qui nous ferait tenir en haleine. James Garner est semi-parodique en héros, pas vraiment menaçant.
Cela dit, les méchants ici sont une bande de cinglés. La série pour autant ne prend pas le chemin d’un ton décalé. Le spectateur se retrouve quelque peu désorienté, peinant à prendre la série au sérieux, et n’étant pas convié à une comédie.
Le personnage de Lee Rondstadt ne manque pas d’être picaresque à souhait, surtout face aux policiers. Mais l’ensemble n’est pas palpitant.
Anecdotes
Retour de Gretchen Corbett dans le rôle de l’avocate Beth Davenport. Par la suite, la comédienne se fâcha avec la production, et son personnage disparaîtra.
Scénario : Juanita Bartlett. Réalisation : Ivan Dixon.
Résumé
Rockford est accusé du meurtre d’un certain Robert Riddy. Il faisait partie du régiment de Corée où Jim a servi.
La critique
Retour de deux personnages récurrents de la série : le supérieur de Dennis Becker, le lieutenant Thomas Dielh (Tom Atkins) et surtout la belle avocate Beth (Gretchen Corbett).
L’épisode renoue avec le pur genre policier. L’intrigue est en lien avec le passé de Jim Rockford en Corée. Il était dans la même division, lors de la guerre, que la victime.
La piste mène aux anciens de la guerre de Corée, après un attentat commis contre la caravane de Jim avec une grenade. Le suspect est un certain Leonard Wenke, fils de la femme de ménage du père de Jim.
Dennis Becker et Jim s’intéressent à une certaine Lee Ronstadt (Adrienne Marden). Son fils serait le suspect idéal. Le père de Jim fait admettre à un certain Chalco, mêlé à l’affaire qu’il connaissait la victime.
Les apparitions de Gretchen Corbett se comptent en courtes minutes, ce que l’on déplore.
Le niveau de la série se situe un peu en dessous de Cannon. Les enquêtes du privé Jim Rockford manquent un peu de cohérence, ce petit quelque chose qui nous ferait tenir en haleine. James Garner est semi-parodique en héros, pas vraiment menaçant.
Cela dit, les méchants ici sont une bande de cinglés. La série pour autant ne prend pas le chemin d’un ton décalé. Le spectateur se retrouve quelque peu désorienté, peinant à prendre la série au sérieux, et n’étant pas convié à une comédie.
Le personnage de Lee Rondstadt ne manque pas d’être picaresque à souhait, surtout face aux policiers. Mais l’ensemble n’est pas palpitant.
Anecdotes
Retour de Gretchen Corbett dans le rôle de l’avocate Beth Davenport. Par la suite, la comédienne se fâcha avec la production, et son personnage disparaîtra.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-04- Un nouveau départ (Second chance) *
Scénario : Gordon Dawson. Réalisation : Reza Badiyi
Résumé
Gandolph Fitch demande à Jim d’investir 500 dollars dans le premier disque d’une chanteuse, Theda Best. Celle-ci ne tarde pas à être enlevée par un caïd, Shapiro.
La critique
Episode ennuyeux dès le départ. On comprend mal pourquoi Jim se laisse entraîner dans cette galère. A la 21e minute, on se laisse séduire par une belle scène de cascade automobile.
Mais le reste du temps, on se surprend à regarder sa montre. Malachi Throne en Shapiro joue les chefs de gangs dans la plus pure tradition, ici un faux monnayeur.
Est-ce pour l’avoir connue comme chanteuse mais Dionne Warwick ne semble pas être une actrice extraordinaire. Theda est la femme divorcée d’un gangster, Joe Moran (Tony Burton), qui jadis a tué un homme plus ou moins accidentellement et se retrouve en liberté surveillée.
Comme toujours, Jim est fauché. Il évolue dans une faune interlope où l’on a du mal à croire qu’il puisse chaque fois se sortir intact.
Isaac Hayes, célèbre compositeur et chanteur (Shaft) est doué pour la comédie. Mais le scénario a tendance a rendre son personnage caricatural.
L’épisode semble durer plus que 47 minutes, tant l’intrigue se traîne en longueur. La façon dont la situation est renversée est difficilement crédible.
Une déception.
Anecdotes
3e et dernière apparition d’Isaac Hayes dans le rôle de Gandolph Fitch.
Dionne Warwick (1940-) est surtout connue comme chanteuse. On l’a souvent vue en France dans les émissions de Sacha Distel.
Malachi Throne (1928-2013) était Noah Bain, le chef d’Al Mundy dans les deux premières saisons d’Opération vol.
Scénario : Gordon Dawson. Réalisation : Reza Badiyi
Résumé
Gandolph Fitch demande à Jim d’investir 500 dollars dans le premier disque d’une chanteuse, Theda Best. Celle-ci ne tarde pas à être enlevée par un caïd, Shapiro.
La critique
Episode ennuyeux dès le départ. On comprend mal pourquoi Jim se laisse entraîner dans cette galère. A la 21e minute, on se laisse séduire par une belle scène de cascade automobile.
Mais le reste du temps, on se surprend à regarder sa montre. Malachi Throne en Shapiro joue les chefs de gangs dans la plus pure tradition, ici un faux monnayeur.
Est-ce pour l’avoir connue comme chanteuse mais Dionne Warwick ne semble pas être une actrice extraordinaire. Theda est la femme divorcée d’un gangster, Joe Moran (Tony Burton), qui jadis a tué un homme plus ou moins accidentellement et se retrouve en liberté surveillée.
Comme toujours, Jim est fauché. Il évolue dans une faune interlope où l’on a du mal à croire qu’il puisse chaque fois se sortir intact.
Isaac Hayes, célèbre compositeur et chanteur (Shaft) est doué pour la comédie. Mais le scénario a tendance a rendre son personnage caricatural.
L’épisode semble durer plus que 47 minutes, tant l’intrigue se traîne en longueur. La façon dont la situation est renversée est difficilement crédible.
Une déception.
Anecdotes
3e et dernière apparition d’Isaac Hayes dans le rôle de Gandolph Fitch.
Dionne Warwick (1940-) est surtout connue comme chanteuse. On l’a souvent vue en France dans les émissions de Sacha Distel.
Malachi Throne (1928-2013) était Noah Bain, le chef d’Al Mundy dans les deux premières saisons d’Opération vol.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-05- Une histoire de fous (The dog and pony show) **
Scénario : David Chase. Réalisation : Reza Badiyi.
Résumé
A cause d’Angel qui l’a mêlé à son insu à une histoire de recel, Jim doit pour éviter la prison subir un programme de thérapie de groupe. Mary Jo, qui se sent menacée, veut engager Jim.
La critique
Ce qui rebute un peu dans cet épisode, ce sont les scènes de thérapie à répétition. Joanne Nail en Mary Jo est bien jolie, joue correctement, mais il n’y a pas de quoi s’extasier.
Jim au cours de son enquête finit par découvrir que quelqu’un veut tuer Mary Jo.
Dennis Becker oriente son ami détective vers les services de la CIA à la recherche d’un certain Joseph Bloomberg.
Cela n’est jamais passionnant. Le suspense a du mal à s’installer. James Garner et l’insupportable Stuart Margolin en Angel jouent de façon trop décontractés. Ils ne semblent pas prendre le script au sérieux.
La série veut adopter un ton décalé qu’elle ne trouve jamais. On reste quand même plus dans le style de Mannix et Cannon que dans une série humoristique assumée.
Un épisode moyen.
Anecdotes
Joanne Nail (1947-) dont la carrière n’a pas dépassé les années 80 et qui au premier coup d’œil évoque un peu Katherine Justice incarne Mary Jo, la jolie fille de l’épisode. Elle a fait une courte carrière. On a pu la voir dans Hawaii Police d’état, Les rues de San Francisco, Cagney et Lacey et un obscur long-métrage au cinéma Les loubardes.
Scénario : David Chase. Réalisation : Reza Badiyi.
Résumé
A cause d’Angel qui l’a mêlé à son insu à une histoire de recel, Jim doit pour éviter la prison subir un programme de thérapie de groupe. Mary Jo, qui se sent menacée, veut engager Jim.
La critique
Ce qui rebute un peu dans cet épisode, ce sont les scènes de thérapie à répétition. Joanne Nail en Mary Jo est bien jolie, joue correctement, mais il n’y a pas de quoi s’extasier.
Jim au cours de son enquête finit par découvrir que quelqu’un veut tuer Mary Jo.
Dennis Becker oriente son ami détective vers les services de la CIA à la recherche d’un certain Joseph Bloomberg.
Cela n’est jamais passionnant. Le suspense a du mal à s’installer. James Garner et l’insupportable Stuart Margolin en Angel jouent de façon trop décontractés. Ils ne semblent pas prendre le script au sérieux.
La série veut adopter un ton décalé qu’elle ne trouve jamais. On reste quand même plus dans le style de Mannix et Cannon que dans une série humoristique assumée.
Un épisode moyen.
Anecdotes
Joanne Nail (1947-) dont la carrière n’a pas dépassé les années 80 et qui au premier coup d’œil évoque un peu Katherine Justice incarne Mary Jo, la jolie fille de l’épisode. Elle a fait une courte carrière. On a pu la voir dans Hawaii Police d’état, Les rues de San Francisco, Cagney et Lacey et un obscur long-métrage au cinéma Les loubardes.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-06- Requiem pour une boîte à blagues (Requiem for a funny fox) *
Histoire de Burt Prelutsky. Adaptation : James S. Crocker. Réalisation : William Wiard.
Résumé
Kenny Bell, un comique, vole un sketch à un confrère, Lee Russo, qui furieux, jure de se venger. Lee Russo est un homme dangereux.
La critique
Histoire un peu tirée par les cheveux : Lee Russo (Robert Quarry) est de mèche avec la mafia, et notamment Paul Silvan (Jason Evers). Silvan, dans la mesure où pour piquer des blagues à Russo l’a espionné, a aussi des secrets compromettants. Et notamment une mallette pleine de dollars.
Dans le rôle de Kenny, Chuck McCann en fait des tonnes dans le genre comique pas drôle. On ne tarde pas à le trouver lâche et antipathique.
Lee Russo est retrouvé mort par Jim, qui est arrêté. Jim doit faire appel à Beth, et une fois de plus le lieutenant Diel veut la peau du détective.
L’atout de cet épisode est la comédienne Meredith MacRae dans le rôle de Lori, la petite amie de Russo.
Jason Evers est plutôt maladroit en jouant les homosexuels, sujet tabou à l’époque.
Tout cela est interprété sans subtilité ni émotion. Un épisode à zapper.
Anecdotes
Episode avec Beth Davenport/Gretchen Corbett.
Meredith MacRae (1944-2000) fauchée par le cancer a joué dans Magnum, L’île fantastique, avant d’arrêter sa carrière en 1993.
Histoire de Burt Prelutsky. Adaptation : James S. Crocker. Réalisation : William Wiard.
Résumé
Kenny Bell, un comique, vole un sketch à un confrère, Lee Russo, qui furieux, jure de se venger. Lee Russo est un homme dangereux.
La critique
Histoire un peu tirée par les cheveux : Lee Russo (Robert Quarry) est de mèche avec la mafia, et notamment Paul Silvan (Jason Evers). Silvan, dans la mesure où pour piquer des blagues à Russo l’a espionné, a aussi des secrets compromettants. Et notamment une mallette pleine de dollars.
Dans le rôle de Kenny, Chuck McCann en fait des tonnes dans le genre comique pas drôle. On ne tarde pas à le trouver lâche et antipathique.
Lee Russo est retrouvé mort par Jim, qui est arrêté. Jim doit faire appel à Beth, et une fois de plus le lieutenant Diel veut la peau du détective.
L’atout de cet épisode est la comédienne Meredith MacRae dans le rôle de Lori, la petite amie de Russo.
Jason Evers est plutôt maladroit en jouant les homosexuels, sujet tabou à l’époque.
Tout cela est interprété sans subtilité ni émotion. Un épisode à zapper.
Anecdotes
Episode avec Beth Davenport/Gretchen Corbett.
Meredith MacRae (1944-2000) fauchée par le cancer a joué dans Magnum, L’île fantastique, avant d’arrêter sa carrière en 1993.
Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
04-07- C’est ça ton Nirvana ! (Quickie Nirvana) *
Scénario : David Chase. Réalisation : Meta Rosenberg.
Résumé
Jim a la mauvaise idée de laisser une jeune hippie se servir de sa caravane comme adresse. Or, elle est poursuivie par son ancien patron auquel elle a volé de l’argent.
La critique
Valerie Curtin incarne ici une hippie assez caricaturale, qui se fait appeler de différents prénoms. L’enquête que mène Jim dans le milieu hippy nous replonge dans la société des années 70.
Cette quatrième saison semble marquer un net fléchissement de la qualité de la série qui dès le départ n’a jamais été un joyau.
Jim est face à une voleuse, pique assiette, à laquelle il finit par dire ses quatre vérités. Le problème est que la série manque d’intensité dramatique, hésitant entre le burlesque et le sérieux, et par conséquent le talent de James Garner tombe à plat.
Il est difficile de se passionner pour cette intrigue ni faite ni à faire. Les comédiens qui incarnent les méchants semblent embarrassés, ne sachant quel ton adopter. Garner semble se forcer parfois pour jouer l’exaspération face au personnage de la jeune hippy, pas si jeune que cela, qui ne veut pas admettre qu’elle a quarante ans.
C’est la grosse faiblesse de l’épisode. On finit par se lasser en cours de vision.
Anecdotes
Valerie Curtin (1945-) a joué au cinéma dans Alice n’est plus ici, Les hommes du Président, Transamerica Express. Elle a arrêté sa carrière en 2006.
Scénario : David Chase. Réalisation : Meta Rosenberg.
Résumé
Jim a la mauvaise idée de laisser une jeune hippie se servir de sa caravane comme adresse. Or, elle est poursuivie par son ancien patron auquel elle a volé de l’argent.
La critique
Valerie Curtin incarne ici une hippie assez caricaturale, qui se fait appeler de différents prénoms. L’enquête que mène Jim dans le milieu hippy nous replonge dans la société des années 70.
Cette quatrième saison semble marquer un net fléchissement de la qualité de la série qui dès le départ n’a jamais été un joyau.
Jim est face à une voleuse, pique assiette, à laquelle il finit par dire ses quatre vérités. Le problème est que la série manque d’intensité dramatique, hésitant entre le burlesque et le sérieux, et par conséquent le talent de James Garner tombe à plat.
Il est difficile de se passionner pour cette intrigue ni faite ni à faire. Les comédiens qui incarnent les méchants semblent embarrassés, ne sachant quel ton adopter. Garner semble se forcer parfois pour jouer l’exaspération face au personnage de la jeune hippy, pas si jeune que cela, qui ne veut pas admettre qu’elle a quarante ans.
C’est la grosse faiblesse de l’épisode. On finit par se lasser en cours de vision.
Anecdotes
Valerie Curtin (1945-) a joué au cinéma dans Alice n’est plus ici, Les hommes du Président, Transamerica Express. Elle a arrêté sa carrière en 2006.
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 12 invités