Columbo (1968-2003)
Columbo (1968-2003)
Chapeau melon et bottes de cuir est un témoignage historique et un refuge de valeurs dans une Grande-Bretagne devenue excessivement multiculturelle dont les traditions tendent à se liquéfier en magma insipide (critique de Bright Horizon).
Re: Columbo (1968-2003)
La série repasse sur TMC à partir de ce soir.
Chapeau melon et bottes de cuir est un témoignage historique et un refuge de valeurs dans une Grande-Bretagne devenue excessivement multiculturelle dont les traditions tendent à se liquéfier en magma insipide (critique de Bright Horizon).
Re: Columbo (1968-2003)
Un quiz Columbo. Allez, à vous de jouer : 17/20 pour ma part...
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/e ... 5bd895eca/
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Chapeau melon et bottes de cuir est un témoignage historique et un refuge de valeurs dans une Grande-Bretagne devenue excessivement multiculturelle dont les traditions tendent à se liquéfier en magma insipide (critique de Bright Horizon).
Re: Columbo (1968-2003)
Excellent score ! 15/20 pour ma part.
- camarade totoff
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Re: Columbo (1968-2003)
11/20 pour moi mais j'ai eu beaucoup de chance. Bravo à Denis et Séribibi.
« La suprême ironie de la vie, c’est que nul n’en sort vivant » (Robert Ansen Heinlein)
Re: Columbo (1968-2003)
Mon top :
1 - Etat d'esprit
2 - Subconscient
3 - Edition tragique
4 - Faux témoin
5 - Jeu de mots
6 - Playback
7 - Le grain de sable
8 - Match dangereux
9 - En toute amitié
10 - Attente
11 - Meurtre parfait
12 - Inculpé de meurtre
13 - Quand le vin est tiré
14 - Symphonie en noir
15 - Une ville fatale
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Re: Columbo (1968-2003)
Je suis en train de me refaire la série dans le désordre (je prendrai soin toutefois d'éviter la nouvelle série que je n'aime pas). Les meilleures saisons sont les 3 premières.
Re: Columbo (1968-2003)
"En toute amitié" en tête. Ensuite, quelques classiques comme "Inculpé de meurtre", "Subconscient", "Réaction négative", "Meurtre parfait", "En toute amitié", "Fayx témoin", "Quand le vin est tiré"..
La saison 3 est au-dessus des autres, la 5 constitue un petit creux, la 7 scelle le retour au sommet et termine très bien la 1ère époque.
La seconde époque est certes en retrait mais reste intéressante avec encore de très bons épisodes comme "Ombres et lumières", "Tout finit par se savoir", "Fantasmes" ou "L'enterrement de Mme Columbo".
La saison 3 est au-dessus des autres, la 5 constitue un petit creux, la 7 scelle le retour au sommet et termine très bien la 1ère époque.
La seconde époque est certes en retrait mais reste intéressante avec encore de très bons épisodes comme "Ombres et lumières", "Tout finit par se savoir", "Fantasmes" ou "L'enterrement de Mme Columbo".
Je suis PhilDLM de l'ancien forum, j'ai choisi mon vrai prénom comme pseudo ici, mes chroniques sur le site restent sous mon ancien pseudo.
Re: Columbo (1968-2003)
C'est aussi la série que je suis tenté de me repasser un de ces jours..
Chapeau melon et bottes de cuir est un témoignage historique et un refuge de valeurs dans une Grande-Bretagne devenue excessivement multiculturelle dont les traditions tendent à se liquéfier en magma insipide (critique de Bright Horizon).
Re: Columbo (1968-2003)
Requiem pour une star **** : une histoire assez macabre digne d'Hitchcock, renforcée par la musique oppressante de Dick de Benedictis, et le cadre anxiogène judicieusement choisi d'un studio de cinéma... Tout cela contribue à la singularité d'un épisode aux abords "paisibles" mais en réalité très noir, et qui se permettait ici quelques entorses aux schémas habituels de la série. Plus encore que dans "Inculpé de meurtre", le monde cinéma (très bien exploité) est au cœur de l'intrigue puisque la victime-même habite une villa située à l'intérieur de ce complexe cinématographique. Le jeu un rien théatral d'Anne Baxter se marie parfaitement au sujet et à l'histoire et constitue, avec le cadre, une superbe mise en abime (le parrallèle avec son rôle dans "Eve" ne fait que renforcer davantage cette impression). L'un des autres grands atouts est sans doute la complexité psychologique de son personnage, Nora Chandler ; elle apparait comme pleine de sensibilité et est tout autant capable de commettre un crime de la façon la plus atroce qui soit. Excellent scénario. Un des meilleurs épisodes de la série.
Match dangereux **** : Un grand classique de la série, une histoire à la progression implacable, pleine de rebondissements, des indices qui comptent parmi les meilleurs de la série (la brosse à dents, la lettre d'adieu...), une confrontation historique avec un vilain égocentrique bien comme on les aime, parmi ceux qui ont fait la renommée de la première époque. Quelques scènes inoubliables parsèment l'histoire, comme la séquence du restaurant, mais aussi l'impressionnant cauchemar inaugural "sur échiquier", avec ses décors réels immenses grandeur nature. Le final où Columbo confond Emmet Clayton est malin en diable, même si -et ce sera souvent le cas dans la série- cela ne constitue pas à proprement parler d'une preuve et ne suffirait pas devant un tribunal. L'inspecteur ne doit son salut qu'au fait que Clayton, acculé par ce qu'il pense être des preuves irréfutables, avoue.
La plus-value apportée par la musique de Dick de Benedictis est également à souligner.
Excellent segment, et dans mon top 10 !
Match dangereux **** : Un grand classique de la série, une histoire à la progression implacable, pleine de rebondissements, des indices qui comptent parmi les meilleurs de la série (la brosse à dents, la lettre d'adieu...), une confrontation historique avec un vilain égocentrique bien comme on les aime, parmi ceux qui ont fait la renommée de la première époque. Quelques scènes inoubliables parsèment l'histoire, comme la séquence du restaurant, mais aussi l'impressionnant cauchemar inaugural "sur échiquier", avec ses décors réels immenses grandeur nature. Le final où Columbo confond Emmet Clayton est malin en diable, même si -et ce sera souvent le cas dans la série- cela ne constitue pas à proprement parler d'une preuve et ne suffirait pas devant un tribunal. L'inspecteur ne doit son salut qu'au fait que Clayton, acculé par ce qu'il pense être des preuves irréfutables, avoue.
La plus-value apportée par la musique de Dick de Benedictis est également à souligner.
Excellent segment, et dans mon top 10 !
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