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Le Baiser de Midas (The Midas Touch)

Publié : lun. déc. 26, 2016 2:22 pm
par Denis
Patricks : "Il y a dans cet épisode la force et la faiblesse des new avengers. En effet, comme dans l'âge d'or, il s'agit d'une histoire qui fait un peu peur avec une sorte de tueur invincible (comme par exemple dans la dynamo vivante). Mais à partir d'un bon scénario, la mise en scène traîne en longueur et tous les effets sont "attendus". Un épisode qui court à la recherche de l'âge d'or, tente de copier l'ancienne formule sans y parvenir.
Pourtant, de bons comédiens sont au rendez vous, citons Ed Devereaux (le père des enfants, monsieur Hammond, dans la série australienne "Skippy le kangourou", visage familier du petit écran, on le revit aussi avec Simon Dutton dans l'episode australien du saint).
L'ex-agent qui tente de prévenir Steed du danger est fort crédible lui aussi, et la musique sinistre.
Parce qu'il hésite entre copier l'âge d'or et jouer la carte du réalisme de la version 76, "le baiser de Midas" échoue quelque part. Tout était en place pour un bon épisode: scénario, rebondissements, comédiens, et à l'arrivée, on reste sur sa faim."

Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)

Publié : mar. janv. 17, 2017 4:47 pm
par Denis

Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)

Publié : sam. mars 04, 2017 12:08 am
par serge42
Un des meilleurs épisodes de la saison et de la série, à chaque fois je m'amuse à repérer les extraits vus dans le générique, puisque c'est de loin l'épisode où l'on en compte le plus. Ah! Purdey et Gambit qui courent à toute vitesse, probablement en léger accéléré...

En général, je ne suis pas friand des cascades et poursuites en voitures, mais je fais une exception pour cet épisode, où je la trouve particulièrement bien réussie.

Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)

Publié : jeu. mars 09, 2017 2:14 pm
par camarade totoff
Je trouve que cet épisode mélange à bon escient les savants fous de la grande époque avec cette idée géniale du "porteur sain" de toutes les maladies du monde (surtout la peste) avec un plus grand réalisme (la scène de la Mort qui est justement au générique). Trois melons pour moi.